« Je vous implore de faire ce dernier effort. » Le message que le Premier ministre du Québec a adressé à ses concitoyens sur les réseaux sociaux, quelques heures avant le couvre-feu, avait un ton presque dramatique. il faut dire que la mesure n'avait pas été appliquée à l'échelle d'une province depuis l'épidémie de grippe espagnole il y a un siècle.
La police, de son côté, se dit prête à arrêter ceux et celles qui n’ont pas le droit de se trouver dehors entre 20 et 5h du matin, comme l’explique Didier Desamond, directeur de l’Association des directeurs de polices du Québec.
« On va s’assurer d’avoir une présence très visible sur la route dès 20h et même dans certains quartiers avec utilisation de gyrophares. »
Les contrevenants risquent une amende allant de 800 à 4000 euros. La mesure restera en vigueur jusqu’au 8 février.
Selon un sondage, sept Québécois sur dix se disent d’accord avec cette mesure choc, qui n’a pas été appliquée depuis un siècle. C’est le cas de cette propriétaire d’un café de style français à Québec.
« Faut que les gens comprennent définitivement qu'on a besoin de cette période-là pour vraiment reprendre tout le monde en main. »
Son voisin, propriétaire d’une épicerie, se montre plus sceptique sur l’efficacité du couvre-feu pour combattre efficacement la progression du virus.
« On ne sait plus sur quel pied danser. Moi je trouve que les mesures sont jamais pareilles, ils changent selon la direction du vent à chaque fois. »
Les autorités constatent de leur côté qu’une partie importante de la population ne respecte pas les règles de distanciation sociale. Cependant, « malgré quelques incidents, nous remarquons une excellente collaboration de la population dans le respect du couvre-feu », a tweeté la Sûreté du Québec.
La police, de son côté, se dit prête à arrêter ceux et celles qui n’ont pas le droit de se trouver dehors entre 20 et 5h du matin, comme l’explique Didier Desamond, directeur de l’Association des directeurs de polices du Québec.
« On va s’assurer d’avoir une présence très visible sur la route dès 20h et même dans certains quartiers avec utilisation de gyrophares. »
Les contrevenants risquent une amende allant de 800 à 4000 euros. La mesure restera en vigueur jusqu’au 8 février.
Selon un sondage, sept Québécois sur dix se disent d’accord avec cette mesure choc, qui n’a pas été appliquée depuis un siècle. C’est le cas de cette propriétaire d’un café de style français à Québec.
« Faut que les gens comprennent définitivement qu'on a besoin de cette période-là pour vraiment reprendre tout le monde en main. »
Son voisin, propriétaire d’une épicerie, se montre plus sceptique sur l’efficacité du couvre-feu pour combattre efficacement la progression du virus.
« On ne sait plus sur quel pied danser. Moi je trouve que les mesures sont jamais pareilles, ils changent selon la direction du vent à chaque fois. »
Les autorités constatent de leur côté qu’une partie importante de la population ne respecte pas les règles de distanciation sociale. Cependant, « malgré quelques incidents, nous remarquons une excellente collaboration de la population dans le respect du couvre-feu », a tweeté la Sûreté du Québec.
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