Pfizer-BioNtech préconise une troisième dose de son vaccin pour en augmenter l’efficacité au moment où le très contagieux variant delta provoque des flambées épidémiques en Asie et en Afrique et fait remonter le nombre de cas en Europe et aux Etats-Unis.
L’alliance Pfizer-BioNTech a annoncé jeudi prévoir de demander «dans les semaines qui viennent» l’autorisation pour une troisième dose de son vaccin contre le Covid-19, aux Etats-Unis et en Europe notamment.
«Des données préliminaires de l’étude montrent qu’une dose de rappel administrée six mois après la seconde dose a un profil de tolérance cohérent, tout en suscitant de hauts niveaux d’anticorps neutralisants» contre le virus, y compris contre le variant Beta, apparu en Afrique du Sud. Selon le groupe pharmaceutique, ces niveaux sont «5 à 10 fois supérieurs» à ceux observés après les deux doses initiales. En France, le Premier ministre a redit jeudi qu’une troisième dose serait probablement nécessaire pour toutes les personnes fragiles. Sanofi de son côté espère mettre au point son vaccin pour décembre. Il fait de ce produit basé sur une technologie différente de l’ARN messager le fer de lance pour un hypothétique rappel.
Les deux sociétés ont souligné que leur vaccin avait montré de bons résultats en laboratoire contre le variant delta, et qu’une troisième dose serait donc capable de renforcer l’immunité contre celui-ci également. Des tests sont en cours pour «confirmer cette hypothèse», ont-elles déclaré. Les résultats de cette étude seront publiés dans une revue scientifique, ont précisé Pfizer-
L’alliance Pfizer-BioNTech a annoncé jeudi prévoir de demander «dans les semaines qui viennent» l’autorisation pour une troisième dose de son vaccin contre le Covid-19, aux Etats-Unis et en Europe notamment.
«Des données préliminaires de l’étude montrent qu’une dose de rappel administrée six mois après la seconde dose a un profil de tolérance cohérent, tout en suscitant de hauts niveaux d’anticorps neutralisants» contre le virus, y compris contre le variant Beta, apparu en Afrique du Sud. Selon le groupe pharmaceutique, ces niveaux sont «5 à 10 fois supérieurs» à ceux observés après les deux doses initiales.
Les deux sociétés ont souligné que leur vaccin avait montré de bons résultats en laboratoire contre le variant delta, et qu’une troisième dose serait donc capable de renforcer l’immunité contre celui-ci également. Des tests sont en cours pour «confirmer cette hypothèse», ont-elles déclaré. Les résultats de cette étude seront publiés dans une revue scientifique, ont précisé Pfizer-
«Même si la protection contre les cas graves de la maladie reste haute durant six mois, un déclin dans son efficacité contre les cas symptomatiques au cours du temps et de l’émergence de variants est attendu», explique le communiqué.
«C’est pourquoi nous avons dit, et nous continuons à croire qu’il est probable, en se fondant sur la totalité des données que nous avons à l’heure actuelle, qu’une troisième dose pourrait être nécessaire entre 6 et 12 mois après la vaccination», est-il ajouté.
«C’est pourquoi nous avons dit, et nous continuons à croire qu’il est probable, en se fondant sur la totalité des données que nous avons à l’heure actuelle, qu’une troisième dose pourrait être nécessaire entre 6 et 12 mois après la vaccination», est-il ajouté.