La procureure de la cour pénale internationale, Fatou Bensouda, a fait des révélations sur l’état d’avancement des enquêtes du bureau du procureur.
On se rappelle que lors de l’ouverture de l’audience de confirmation des charges de Charles Blé Goudé, Fatou Bensouda avait réaffirmé une détermination sans faille et équitable dans sa volonté de poursuivre les auteurs des crimes graves commis pendant la crise post-électorale en Côte d’Ivoire.
«Nous n’avons pas fini nos enquêtes. Nous demandons aux uns et aux autres de faire preuve de patience, assurer à tout le monde que justice sera rendue », avait-t-elle indiqué à la cour.
Selon des nouvelles qui nous sont parvenues, des enquêtes sur les éléments des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) sont actuellement menées par la procureure et son équipe.
En effet, une délégation de plusieurs mouvements ivoiriens de défense des droits de l’homme conduite par Drissa Traoré, vice-président de la FIDH et président d’honneur du Mouvement ivoirien des droits humains, s’est rendue le 1er octobre à La Haye pour rencontrer les membres du bureau du procureur. Ces mouvements ivoiriens de défense des droits de l’homme ont fait part de son souhait de voir la CPI engager de nouvelles enquêtes, notamment au sein des pro-Ouattara, afin d’apporter une crédibilité à la cour au moment où plusieurs personnes pensent dur comme fer qu’elle favorise une justice partielle, « justice des vainqueurs.
En réponse, le bureau du procureur leur a nettement répondu qu’il n’y aurait pas de « justice à deux vitesses car des enquêtes sont en cours dans les rangs de l’armée ivoirienne ».
Quelles sont donc les autorités militaires ivoiriennes visées par la Cour pénale internationale ? la question reste posée…
L’ex-chef de l’État ivoirien et Charles Blé Goudé se trouvent, aux, en détention à La Haye. Le premier sera jugé par la CPI, tandis que le second attend la confirmation ou non des charges retenues contre lui. Quant à Simone Gbagbo, l’épouse de Laurent Gbagbo, réclamée par la CPI, elle est toujours détenue en Côte d’Ivoire.
Imatin.net
On se rappelle que lors de l’ouverture de l’audience de confirmation des charges de Charles Blé Goudé, Fatou Bensouda avait réaffirmé une détermination sans faille et équitable dans sa volonté de poursuivre les auteurs des crimes graves commis pendant la crise post-électorale en Côte d’Ivoire.
«Nous n’avons pas fini nos enquêtes. Nous demandons aux uns et aux autres de faire preuve de patience, assurer à tout le monde que justice sera rendue », avait-t-elle indiqué à la cour.
Selon des nouvelles qui nous sont parvenues, des enquêtes sur les éléments des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) sont actuellement menées par la procureure et son équipe.
En effet, une délégation de plusieurs mouvements ivoiriens de défense des droits de l’homme conduite par Drissa Traoré, vice-président de la FIDH et président d’honneur du Mouvement ivoirien des droits humains, s’est rendue le 1er octobre à La Haye pour rencontrer les membres du bureau du procureur. Ces mouvements ivoiriens de défense des droits de l’homme ont fait part de son souhait de voir la CPI engager de nouvelles enquêtes, notamment au sein des pro-Ouattara, afin d’apporter une crédibilité à la cour au moment où plusieurs personnes pensent dur comme fer qu’elle favorise une justice partielle, « justice des vainqueurs.
En réponse, le bureau du procureur leur a nettement répondu qu’il n’y aurait pas de « justice à deux vitesses car des enquêtes sont en cours dans les rangs de l’armée ivoirienne ».
Quelles sont donc les autorités militaires ivoiriennes visées par la Cour pénale internationale ? la question reste posée…
L’ex-chef de l’État ivoirien et Charles Blé Goudé se trouvent, aux, en détention à La Haye. Le premier sera jugé par la CPI, tandis que le second attend la confirmation ou non des charges retenues contre lui. Quant à Simone Gbagbo, l’épouse de Laurent Gbagbo, réclamée par la CPI, elle est toujours détenue en Côte d’Ivoire.
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