Quand il parle du crash du vol AH 5017 d'Air Algérie au nord du Mali, Dramane Ouedraogo, porte-parole de l'association des parents des victimes, a toujours les larmes aux yeux. Le 24 juillet 2014, sept membres de sa famille trouvaient la mort dans ce crash.
Les conclusions du rapport des experts judiciaires, qui indiquent que les pilotes n’avaient pas effectué d’heures de vol pendant les huit mois précédents ce crash, viennent conforter l’une des thèses des parents des victimes.
« Depuis longtemps nous avons crié cela sur tous les toits, mais personne ne voulait nous écouter parce qu’on disait que c’est puisque nous sommes affectés psychologiquement par la douleur de l’accident dont nous sommes victimes et que nous en parlions et accusions les gens à cause de cela. Nous avons toujours su que la copilote tenait une crèche et avait une activité parallèle à l’aviation », affirme Dramane Ouedraogo.
Me Halidou Ouedraogo, président de l’association des parents des victimes, avait même lancé cette phrase. « Un avion n’est pas un taxi-brousse qu’on remet un premier venu ». En tout cas, Dramane Ouedraogo et les autres attendent que justice soit rendue aux victimes de ce crash. « Maintenant que les bureaux d’enquête se prononcent, nous nous attendons à ce qu’il y ait réparation, parce que sinon ça ne s’explique pas », ajoute-t-il.
L’avion qui s’est écrasé avait à son bord 116 personnes, principalement des Français, des Burkinabè, des Algériens, des Libanais et l’équipage espagnol.
Les conclusions du rapport des experts judiciaires, qui indiquent que les pilotes n’avaient pas effectué d’heures de vol pendant les huit mois précédents ce crash, viennent conforter l’une des thèses des parents des victimes.
« Depuis longtemps nous avons crié cela sur tous les toits, mais personne ne voulait nous écouter parce qu’on disait que c’est puisque nous sommes affectés psychologiquement par la douleur de l’accident dont nous sommes victimes et que nous en parlions et accusions les gens à cause de cela. Nous avons toujours su que la copilote tenait une crèche et avait une activité parallèle à l’aviation », affirme Dramane Ouedraogo.
Me Halidou Ouedraogo, président de l’association des parents des victimes, avait même lancé cette phrase. « Un avion n’est pas un taxi-brousse qu’on remet un premier venu ». En tout cas, Dramane Ouedraogo et les autres attendent que justice soit rendue aux victimes de ce crash. « Maintenant que les bureaux d’enquête se prononcent, nous nous attendons à ce qu’il y ait réparation, parce que sinon ça ne s’explique pas », ajoute-t-il.
L’avion qui s’est écrasé avait à son bord 116 personnes, principalement des Français, des Burkinabè, des Algériens, des Libanais et l’équipage espagnol.
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