Le maire de Thiès, Idrissa Seck est déjà dans la peau d’un haut responsable du Parti Démocratique Sénégalais Libéral. Le président du Parti Rewmi livre ses ambitions et celles du secrétaire général national du PDS, par ailleurs, chef de l’Etat à propos du grand parti présidentiel. «Je souhaite que le Parti Démocratique Sénégalais Libéral puisse, non seulement tenir, mais être fort comme la composante principale de la famille mais aussi qu’elle préserve ses valeurs de protection de la liberté et de la dignité de l’homme et que ces valeurs soient fortes au Sénégal, en Afrique et dans le monde», a-t-il déclaré.
L’ancien Premier ministre a, en outre, indiqué : «nous avons retenus de travailler ensemble à fortifier la famille libérale et nous allons poursuivre les discussions». Il est d’avis que «se retrouver dans un même parti politique n’est pas un exercice difficile lorsque nous avons deux entités qui sont assez fortes, assez bien structurées avec un personnel d’encadrement politique relativement important». Le maire de Thiès est revenu sur les résultats de la présidentielle de février 2007 qui structurent et légitiment la configuration actuelle du jeu politique sénégalais. «Rien que nous deux, nous faisions 70% de l’électorat du Sénégal. Lui ayant été premier avec 55%, moi deuxième avec 15%. Cela peut prendre du temps à se mettre en place mais nous avons retenu de travailler ensemble la main dans la main», a-t-il expliqué. Idrissa Seck de préciser : «En 2007, nous avons été 15 à nous présenter aux Sénégalais pour dire que nous voulons être président, et les sénégalais ont tranché. Le patron, c’est Wade avec 55% président en exercice, le deuxième c’est Idrissa Seck».
Interpellé sur les blocages éventuellement notés dans ses négociations avec Abdoulaye Wade, l’ancien numéro deux du PDS a fait savoir : «il n’y a pas de blocages pour mon retour au PDS. Nous travaillons et nous avons retenu ensemble de fortifier la famille libérale. Nous allons poursuivre les discussions».
Par rapport aux querelles intestines qui minent la formation libérale dirigée par le chef de l’Etat, le maire de Thiès a soutenu que «le PDS se restructure et va être repris en main par le président de la République de la section au secteur. Il va y mettre un peu plus d’ordre certainement. Rewmi que je dirige se structure, se fortifie et se massifie. La famille libérale a conscience qu’elle a un rendez-vous important en 2012 et elle va s’y préparer».
L’ancien Premier ministre a, en outre, indiqué : «nous avons retenus de travailler ensemble à fortifier la famille libérale et nous allons poursuivre les discussions». Il est d’avis que «se retrouver dans un même parti politique n’est pas un exercice difficile lorsque nous avons deux entités qui sont assez fortes, assez bien structurées avec un personnel d’encadrement politique relativement important». Le maire de Thiès est revenu sur les résultats de la présidentielle de février 2007 qui structurent et légitiment la configuration actuelle du jeu politique sénégalais. «Rien que nous deux, nous faisions 70% de l’électorat du Sénégal. Lui ayant été premier avec 55%, moi deuxième avec 15%. Cela peut prendre du temps à se mettre en place mais nous avons retenu de travailler ensemble la main dans la main», a-t-il expliqué. Idrissa Seck de préciser : «En 2007, nous avons été 15 à nous présenter aux Sénégalais pour dire que nous voulons être président, et les sénégalais ont tranché. Le patron, c’est Wade avec 55% président en exercice, le deuxième c’est Idrissa Seck».
Interpellé sur les blocages éventuellement notés dans ses négociations avec Abdoulaye Wade, l’ancien numéro deux du PDS a fait savoir : «il n’y a pas de blocages pour mon retour au PDS. Nous travaillons et nous avons retenu ensemble de fortifier la famille libérale. Nous allons poursuivre les discussions».
Par rapport aux querelles intestines qui minent la formation libérale dirigée par le chef de l’Etat, le maire de Thiès a soutenu que «le PDS se restructure et va être repris en main par le président de la République de la section au secteur. Il va y mettre un peu plus d’ordre certainement. Rewmi que je dirige se structure, se fortifie et se massifie. La famille libérale a conscience qu’elle a un rendez-vous important en 2012 et elle va s’y préparer».
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