« Nous sommes prêts à discuter avec l’Etat du Sénégal. Mais contrairement à ce qui se faisait les années précédentes, nous voulons des négociations franches et sincères qui permettront à la Casamance de retrouver cette paix que réclament les populations de cette région », a indiqué au journal « L’observateur », une source proche du chef rebelle Ousmane Gnantang Diatta.
Toutefois, ces négociations vont passer « inévitablement par la levée immédiate et sans condition du mandat d’arrêt international lancé à l’époque par le gouvernement sénégalais sous l’ère Wade, contre le secrétaire général du MFDC, Mamadou Nkrumah Sané ».
Et comme si cette condition ne suffit pas, « Atika » précise également que ces négociations ne pourront pas se tenir au Sénégal car « c’est seulement en Europe où nous allons discuter avec l’Etat du Sénégal », indiquent ces mêmes sources.
Toutefois, ces négociations vont passer « inévitablement par la levée immédiate et sans condition du mandat d’arrêt international lancé à l’époque par le gouvernement sénégalais sous l’ère Wade, contre le secrétaire général du MFDC, Mamadou Nkrumah Sané ».
Et comme si cette condition ne suffit pas, « Atika » précise également que ces négociations ne pourront pas se tenir au Sénégal car « c’est seulement en Europe où nous allons discuter avec l’Etat du Sénégal », indiquent ces mêmes sources.