Le Réseau ouest africain pour l’édification de la paix (WANEP) a organisé ce matin un panel qui s'est voulu un plateau d'échange sur les problèmes de l’école sénégalaise. Les panélistes se sont saisi de cette occasion pour dégager des ébauches de pistes afin de pacifier l'environnement scolaire.
«Nous avons dépassé le stade du diagnostique. Il y a eu des recommandations après les assises et nous devons normalement être à la période des thérapeutiques. Beaucoup de choses ont été retenu. La première chose, ce qu’il faut vraiment aller vers la qualité en instaurant un climat apaisé pour que les enseignements, apprentissages puissent en servir à nos enfants. Il a été question de mettre en place ou de répondre au système éducatif en faisant de notre école, l’école de la réussite. Cette école de la réussite nécessite vraiment des enseignants formés au niveau initial et de façon continue», a déclaré Dame Seck, secrétaire général de la Fondation nationale des parents d’élèves et Etudiants du Sénégal,
Poursuivant ses propos, M. Seck ajoute: « Nous devons avoir un corps enseignant qui attire les meilleurs parmi ceux qui souhaitent être des enseignants. Ces enseignants ont droit à une bonne formation, mais ils doivent être motivés pour pouvoir rester dans le corps, être dans de bonnes conditions de travail en respectant les normes. Le respect des droits de l’enfant et l’effectivité du droit à l’éducation».
Pour lui, ceci est un travail de tout un chacun: « Nous avions fait une analyse. Et nous avions vu que le nerf du problème c’est l’argent. Nous avions fait une proposition pour mettre en place un fonds national pour le développement de l’éducation pour assouplir le système financiers et faire de sorte qu’il n’y ait plus de retard de paiement de salaire, ou de bourse».
En dehors de la recherche de la performance, le secrétaire général de la Fondation nationale des parents d’élèves et Etudiants du Sénégal demande aux acteurs de faire en sorte que l’éducation dans les langues nationales soit appliquée. Car dit-il, « il y a eu des expérimentations dans ce domaine ou l’éducation est sous tendue par la langue nationale. Et on a vu que les performances étaient meilleurs avec l’apprentissage à partir de la langue étrangère qui est le français».
Le Responsable de suivi évaluation à la Coalition des organisations syndicales pour la défense de l’éducation publique (COSYDEP) ne dira pas le contraire. «Comme nous l’avons dit, le diagnostic est établi. Les mots du système sénégalais sont connus. Il y a eu des solutions et des recommandations qui ont déjà été réunies », soutient Marie Elisabeth Mansaly.
Pour elle, il faut décloisonner le système éducatif sénégalais. « Aujourd’hui on a un système qui est géré par plusieurs ministères. Le deuxième niveau, c’est aller vers la qualité, avec la question des abris provisoires, un système stable. Démocratiser le pouvoir. Il faut qu’il revienne aux communautés locales, des communautés engagées qui prennent en charge la question de l’éducation. L’espoir est permis le dialogue est à renforcer entre l’Etat et les partenaires».
Toujours en termes d’élément de diagnostique, Mamadou Lamine Dianté du Grand Cadre pense qu’il « faudrait interroger les structures avec l’engagement de l’Etat du Sénégal. Souscrire à une éducation universelle. Au moment où les moyens faisaient défaut à l’Etat du Sénégal, qui a eu recours à un certain type d’enseignants à savoir les volontaires et les vacataires ».
Toutefois Mamadou Lamine Dianté pense qu’ont n’a pas le droit d’être septique pour sortir l’école sénégalaise de cette situation. Dans la mesure où des réflexions de fond ont été menées pendant durant un an. Il convient aujourd’hui de prendre en compte et d’aller véritablement vers le sens de l’application des recommandations et des conclusions de ces assises».
«Nous avons dépassé le stade du diagnostique. Il y a eu des recommandations après les assises et nous devons normalement être à la période des thérapeutiques. Beaucoup de choses ont été retenu. La première chose, ce qu’il faut vraiment aller vers la qualité en instaurant un climat apaisé pour que les enseignements, apprentissages puissent en servir à nos enfants. Il a été question de mettre en place ou de répondre au système éducatif en faisant de notre école, l’école de la réussite. Cette école de la réussite nécessite vraiment des enseignants formés au niveau initial et de façon continue», a déclaré Dame Seck, secrétaire général de la Fondation nationale des parents d’élèves et Etudiants du Sénégal,
Poursuivant ses propos, M. Seck ajoute: « Nous devons avoir un corps enseignant qui attire les meilleurs parmi ceux qui souhaitent être des enseignants. Ces enseignants ont droit à une bonne formation, mais ils doivent être motivés pour pouvoir rester dans le corps, être dans de bonnes conditions de travail en respectant les normes. Le respect des droits de l’enfant et l’effectivité du droit à l’éducation».
Pour lui, ceci est un travail de tout un chacun: « Nous avions fait une analyse. Et nous avions vu que le nerf du problème c’est l’argent. Nous avions fait une proposition pour mettre en place un fonds national pour le développement de l’éducation pour assouplir le système financiers et faire de sorte qu’il n’y ait plus de retard de paiement de salaire, ou de bourse».
En dehors de la recherche de la performance, le secrétaire général de la Fondation nationale des parents d’élèves et Etudiants du Sénégal demande aux acteurs de faire en sorte que l’éducation dans les langues nationales soit appliquée. Car dit-il, « il y a eu des expérimentations dans ce domaine ou l’éducation est sous tendue par la langue nationale. Et on a vu que les performances étaient meilleurs avec l’apprentissage à partir de la langue étrangère qui est le français».
Le Responsable de suivi évaluation à la Coalition des organisations syndicales pour la défense de l’éducation publique (COSYDEP) ne dira pas le contraire. «Comme nous l’avons dit, le diagnostic est établi. Les mots du système sénégalais sont connus. Il y a eu des solutions et des recommandations qui ont déjà été réunies », soutient Marie Elisabeth Mansaly.
Pour elle, il faut décloisonner le système éducatif sénégalais. « Aujourd’hui on a un système qui est géré par plusieurs ministères. Le deuxième niveau, c’est aller vers la qualité, avec la question des abris provisoires, un système stable. Démocratiser le pouvoir. Il faut qu’il revienne aux communautés locales, des communautés engagées qui prennent en charge la question de l’éducation. L’espoir est permis le dialogue est à renforcer entre l’Etat et les partenaires».
Toujours en termes d’élément de diagnostique, Mamadou Lamine Dianté du Grand Cadre pense qu’il « faudrait interroger les structures avec l’engagement de l’Etat du Sénégal. Souscrire à une éducation universelle. Au moment où les moyens faisaient défaut à l’Etat du Sénégal, qui a eu recours à un certain type d’enseignants à savoir les volontaires et les vacataires ».
Toutefois Mamadou Lamine Dianté pense qu’ont n’a pas le droit d’être septique pour sortir l’école sénégalaise de cette situation. Dans la mesure où des réflexions de fond ont été menées pendant durant un an. Il convient aujourd’hui de prendre en compte et d’aller véritablement vers le sens de l’application des recommandations et des conclusions de ces assises».