"Je ne suis pas optimiste", a confié le directeur du Fonds monétaire international, sur France-Inter. "Le système financier dans le monde entier n'est pas encore sain", a-t-il estimé, ajoutant qu'"il faut aller jusqu'au bout du nettoyage du bilan des banques (...) Et ça, ça ne se fait pas assez vite". Et de souligner que "les banques continuent d'avoir dans leurs bilans" des "actifs toxiques".
Dominique Strauss-Kahn a également jugé qu'"il faut que les plans de relance soient plus puissants qu'ils ne le sont", sauf aux Etats-Unis. "Quand nous, nous disons: 'on voit la reprise vers le début 2010', c'est à condition que tout ce qui doit être mis en oeuvre le soit d'ici là", a-t-il précisé.
M. Strauss-Kahn a également déploré le manque de coordination entre les différentes politiques de relance. "Quand vous relancez en France, par exemple, la moitié de ce que vous faites, ça sert aux autres (...) Mais c'est pas une raison pour pas le faire. Il faut que tout le monde le fasse. Comme ça, ce que font les autres ça sert chez vous. A condition que ce soit coordonné", a-t-il expliqué.
Et le directeur du FMI de plaider: "Il n'y a pas de solution individuelle. On est dans une crise mondiale, et donc il y a des solutions mondiales. Chaque pays qui essaie de s'en sortir tout seul crée des problèmes a son voisin". AP
source : AP
Dominique Strauss-Kahn a également jugé qu'"il faut que les plans de relance soient plus puissants qu'ils ne le sont", sauf aux Etats-Unis. "Quand nous, nous disons: 'on voit la reprise vers le début 2010', c'est à condition que tout ce qui doit être mis en oeuvre le soit d'ici là", a-t-il précisé.
M. Strauss-Kahn a également déploré le manque de coordination entre les différentes politiques de relance. "Quand vous relancez en France, par exemple, la moitié de ce que vous faites, ça sert aux autres (...) Mais c'est pas une raison pour pas le faire. Il faut que tout le monde le fasse. Comme ça, ce que font les autres ça sert chez vous. A condition que ce soit coordonné", a-t-il expliqué.
Et le directeur du FMI de plaider: "Il n'y a pas de solution individuelle. On est dans une crise mondiale, et donc il y a des solutions mondiales. Chaque pays qui essaie de s'en sortir tout seul crée des problèmes a son voisin". AP
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