Si les deux Conseils ont exprimé dans un communiqué commun publié à l’issue des discussions leur « préoccupation » quant à la présence de membres d’Al-Qaidadans le nord du pays, le texte se borne à « prendre note » de la demande concernant l’intervention d’une force au Mali.
OBJECTIFS EN QUESTION
Des représentants du Conseil de paix et de sécurité de l’UA avaient appelé mardi l’ONU à soutenir « en toute urgence » une opération destinée à rétablir l’intégrité territoriale du Mali. Mais des diplomates onusiens ont souligné que plusieurs membres du Conseil de sécurité de l’ONU avaient des interrogations sur cette force. « Nous devons en savoir davantage sur les objectifs de la force, comment elle sera mise en œuvre et quels seront ses soutiens logistiques et financiers », a précisé un diplomate s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.
Un autre diplomate est allé plus loin en évoquant « des réticences » de certains membres du Conseil de sécurité. « Nous avons demandé à l’Union africaine defournir plus d’informations », a-t-il dit.
CONSEILS EN ALGÉRIE
Le premier ministre malien Cheikh Modibo Diarra est venu en Algérie « à la recherche de solutions pour le problème du Mali », a-t-il déclaré à l’agence APS après avoir été reçu par le président Abdelaziz Bouteflika mercredi.
Depuis le début de la crise malienne, l’Algérie a adopté une ligne de non-ingérence chez son voisin, tout en affirmant son attachement à l’intégrité territoriale de ce pays mais elle multiplie les contacts avec les pays concernés, dans la région et ailleurs, notamment la France et les Etats-Unis.
Le Monde.fr avec AFP
OBJECTIFS EN QUESTION
Des représentants du Conseil de paix et de sécurité de l’UA avaient appelé mardi l’ONU à soutenir « en toute urgence » une opération destinée à rétablir l’intégrité territoriale du Mali. Mais des diplomates onusiens ont souligné que plusieurs membres du Conseil de sécurité de l’ONU avaient des interrogations sur cette force. « Nous devons en savoir davantage sur les objectifs de la force, comment elle sera mise en œuvre et quels seront ses soutiens logistiques et financiers », a précisé un diplomate s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.
Un autre diplomate est allé plus loin en évoquant « des réticences » de certains membres du Conseil de sécurité. « Nous avons demandé à l’Union africaine defournir plus d’informations », a-t-il dit.
CONSEILS EN ALGÉRIE
Le premier ministre malien Cheikh Modibo Diarra est venu en Algérie « à la recherche de solutions pour le problème du Mali », a-t-il déclaré à l’agence APS après avoir été reçu par le président Abdelaziz Bouteflika mercredi.
Depuis le début de la crise malienne, l’Algérie a adopté une ligne de non-ingérence chez son voisin, tout en affirmant son attachement à l’intégrité territoriale de ce pays mais elle multiplie les contacts avec les pays concernés, dans la région et ailleurs, notamment la France et les Etats-Unis.
Le Monde.fr avec AFP