"A Addis Abeba il a été décidé que Alassane Ouattara soit président et Laurent Gbagbo Premier ministre" un mois avant son arrestation, a indiqué Sam l’africain, ajoutant que l’ex-président "était d’accord" mais "Sangaré (co-fondateur du FPI) a refusé et pris Gbagbo en otage donc le vrai coupable, c’est" lui.
Selon M. Jichi, leader de la Nouvelle alliance de la Côte d’Ivoire pour la Patrie (NACIP), une formation politique d’opposition, M. Sangaré doit assumer ses responsabilités devant la CPI s’"il aime vraiment" M.Gbagbo pour que celui-ci soit "libéré".
En mars 2011, le groupe de haut niveau de l’Union africaine (UA) a convoqué M. Ouattara donné vainqueur par la Commission électorale indépendante (CEI) et le chef de l’Etat sortant Laurent Gbagbo, déclaré quant à lui élu par le Conseil constitutionnel, à Addis Abeba (Ethiopie) pour un règlement de la crise "contraignant" pour les deux parties.
Le contentieux électoral a débouché sur un conflit armé entre forces pro-Ouattara et pro-Gbagbo qui a duré plus de quatre mois et fait un bilan officiel de plus de 3.000 morts.
Ancien membre de la "Galaxie patriotique", proche de Laurent Gbagbo lors de la présidentielle de 2010, l’ivoiro-libanais Jichi Sam Mohamed, a surpris tout le monde lors de son audition à la Cour pénale internationale comme témoin à charge dans le procès conjoint de Laurent Gbagbo et de l’ex-leader des "Jeunes patriotes" Charles Blé Goudé, accusés de "crimes contre l’humanité", en disculpant l’ancien chef de l’Etat.
Dès son retour à Abidjan M. Jichi a été réintégré à l’Alliance des forces démocratiques (AFD), coalition de l’opposition ivoirienne dirigée par le parti de Laurent Gbagbo, d’où il avait été exclu après que son nom ait fuité à la CPI comme témoin à charge.
Depuis jeudi, Sam l’Africain effectue une tournée de "réconciliation". Il s’est rendu à Mama (Centre-ouest), village de l’ancien-président Laurent Gbagbo. Samedi, il devrait se rendre à Daloa (382 km d’Abidjan).
Source: Alerte Infos
Selon M. Jichi, leader de la Nouvelle alliance de la Côte d’Ivoire pour la Patrie (NACIP), une formation politique d’opposition, M. Sangaré doit assumer ses responsabilités devant la CPI s’"il aime vraiment" M.Gbagbo pour que celui-ci soit "libéré".
En mars 2011, le groupe de haut niveau de l’Union africaine (UA) a convoqué M. Ouattara donné vainqueur par la Commission électorale indépendante (CEI) et le chef de l’Etat sortant Laurent Gbagbo, déclaré quant à lui élu par le Conseil constitutionnel, à Addis Abeba (Ethiopie) pour un règlement de la crise "contraignant" pour les deux parties.
Le contentieux électoral a débouché sur un conflit armé entre forces pro-Ouattara et pro-Gbagbo qui a duré plus de quatre mois et fait un bilan officiel de plus de 3.000 morts.
Ancien membre de la "Galaxie patriotique", proche de Laurent Gbagbo lors de la présidentielle de 2010, l’ivoiro-libanais Jichi Sam Mohamed, a surpris tout le monde lors de son audition à la Cour pénale internationale comme témoin à charge dans le procès conjoint de Laurent Gbagbo et de l’ex-leader des "Jeunes patriotes" Charles Blé Goudé, accusés de "crimes contre l’humanité", en disculpant l’ancien chef de l’Etat.
Dès son retour à Abidjan M. Jichi a été réintégré à l’Alliance des forces démocratiques (AFD), coalition de l’opposition ivoirienne dirigée par le parti de Laurent Gbagbo, d’où il avait été exclu après que son nom ait fuité à la CPI comme témoin à charge.
Depuis jeudi, Sam l’Africain effectue une tournée de "réconciliation". Il s’est rendu à Mama (Centre-ouest), village de l’ancien-président Laurent Gbagbo. Samedi, il devrait se rendre à Daloa (382 km d’Abidjan).
Source: Alerte Infos