Le Cusems a finalement accepté d’entendre raison après les nombreux appels lancés par des sénégalais soucieux de l’avenir de la jeunesse dont une bonne frange avait sa scolarité gravement menacée par la longue grève du cadre unitaire du Moyen Secondaire. Un cartel qui a finalement accepté, après plusieurs appels à la raison, de siffler la fin de la récréation.
Ainsi, selon Mamadou Mbodj, son leader : «Le directoire du Cusems voudrait aujourd’hui annoncer publiquement la décision prise par la majorité des professeurs des lycées et collèges de suspendre le boycott des enseignements-apprentissages à compter de ce jeudi 26 avril». Le Secrétaire général du Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen et du Secondaire (Cusems), qui a introduit ainsi sa déclaration à la presse, semblait avoir répondu à toute l’attente pressante de l’opinion Sénégalaise qui avait commencé à s’interroger sur les motivations réelles de son syndicat. Mais pour lui «il faut donner une chance aux autorités pédagogiques de sauver l’année scolaire».
Son syndicat entend, à travers la reprise annoncée des cours dans l’ensemble du territoire sénégalais, jouer sa partition dans une dynamique consistant à éviter l’année blanche. Mamadou Mbodj a soutenu également que «cette option a emporté l’adhésion de 63,64 pour cent des participants à la consultation initiée en vue de la détermination de la conduite à tenir au terme du 18ème plan d’action, dans la nouvelle alternance».
Le Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen et du Secondaire (Cusems), a voulu également, à travers sa mesure, laisser le soin aux autorités politiques de prendre les mesures d’accompagnement indispensables à la réalisation d’un temps d’apprentissage susceptible de permettre aux candidats aux différents examens de réussir et aux autres élèves d’avoir les pré-requis nécessaires à un passage en classe supérieure.
Selon Abdoulaye Ndoye, porte-parole de Cusems, «l’Etat doit se rapprocher des élèves et parents d’élèves pour que des concessions soient faites et pour que la motivation soit là, durant les prochains mois», a-t-il souligné avant de préciser que «de notre côté, nous garantissons la stabilité dans l’espace scolaire et nous ferons tous les sacrifices nécessaires, quitte à travailler les mercredis et samedis, pour rattraper le temps perdu. Il y a encore de l’espoir».
Cependant, il avertit : «Le Cusems n’a pas déposé les armes, les régulateurs et médiateurs sociaux ont certes aidé à arrêter ce mouvement de grève mais le nouveau gouvernement ne doit pas voir là, une manière de faire abstraction des préoccupations de ceux qui constituent l’intrant le plus décisif pour une éducation de qualité. Nous entendons satisfaire nos revendications légitimes le 28 mai prochain, lors de notre rencontre avec l’Etat ».
Avec Sudonline
Ainsi, selon Mamadou Mbodj, son leader : «Le directoire du Cusems voudrait aujourd’hui annoncer publiquement la décision prise par la majorité des professeurs des lycées et collèges de suspendre le boycott des enseignements-apprentissages à compter de ce jeudi 26 avril». Le Secrétaire général du Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen et du Secondaire (Cusems), qui a introduit ainsi sa déclaration à la presse, semblait avoir répondu à toute l’attente pressante de l’opinion Sénégalaise qui avait commencé à s’interroger sur les motivations réelles de son syndicat. Mais pour lui «il faut donner une chance aux autorités pédagogiques de sauver l’année scolaire».
Son syndicat entend, à travers la reprise annoncée des cours dans l’ensemble du territoire sénégalais, jouer sa partition dans une dynamique consistant à éviter l’année blanche. Mamadou Mbodj a soutenu également que «cette option a emporté l’adhésion de 63,64 pour cent des participants à la consultation initiée en vue de la détermination de la conduite à tenir au terme du 18ème plan d’action, dans la nouvelle alternance».
Le Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen et du Secondaire (Cusems), a voulu également, à travers sa mesure, laisser le soin aux autorités politiques de prendre les mesures d’accompagnement indispensables à la réalisation d’un temps d’apprentissage susceptible de permettre aux candidats aux différents examens de réussir et aux autres élèves d’avoir les pré-requis nécessaires à un passage en classe supérieure.
Selon Abdoulaye Ndoye, porte-parole de Cusems, «l’Etat doit se rapprocher des élèves et parents d’élèves pour que des concessions soient faites et pour que la motivation soit là, durant les prochains mois», a-t-il souligné avant de préciser que «de notre côté, nous garantissons la stabilité dans l’espace scolaire et nous ferons tous les sacrifices nécessaires, quitte à travailler les mercredis et samedis, pour rattraper le temps perdu. Il y a encore de l’espoir».
Cependant, il avertit : «Le Cusems n’a pas déposé les armes, les régulateurs et médiateurs sociaux ont certes aidé à arrêter ce mouvement de grève mais le nouveau gouvernement ne doit pas voir là, une manière de faire abstraction des préoccupations de ceux qui constituent l’intrant le plus décisif pour une éducation de qualité. Nous entendons satisfaire nos revendications légitimes le 28 mai prochain, lors de notre rencontre avec l’Etat ».
Avec Sudonline
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