Le non-respect des accords consignés dans le protocole d’accord du 30 avril 2018 demeure la pomme de discorde dans l'éducation nationale du Sénégal. Réuni, ce samedi à la demande du gouvernement à travers une séance de monitoring, les syndicats d’enseignants les plus représentatifs au Sénégal regroupés au tour du G7 (Saemss, Cusems, Sels, Sels/A, Uden, Siens et Sneelas/FC) ont encore lancé le grand haro contre les autorités étatiques.
Saourou Séne secrétaire général du syndicat autonome des enseignants de moyen secondaires du Sénégal, le Saems par ailleurs, porte-parole du G7, a clairement signifié son non-satisfecit après 7 heures de discussions avec le ministre chargé du Suivi du Plan Sénégal Emergent (PSE), Cheikh Kanté, désigné médiateur entre le gouvernement et les syndicalistes d'enseignants.
"Il faut le reconnaître, nous sommes restés sur notre faim pour la bonne et simple raison que lorsque nous avons écouté la partie gouvernementale à exposer sur les réalisations par rapport à un protocole d'accord qui a été signé le 30 avril 2018, nous considérons encore qu'il y a des points très importants qui surgissent. Par exemple la question du système de rémunération des agents de l'État pour lequel nous avons pas encore de réponse complète. Nous avons aussi la question du corps administrateur scolaire, et le concours des passerelles qui devait s'organiser annuellement ne l'est pas encore. Entre autres points qui sont contenus dans ce protocole et qui n'ont pas encore fait l'objet de matérialisation", se désole t-il.
Poursuivant sa plaidoirie, le syndicaliste ajoute que ce qui est important, est "qu'on dépasse quand même le protocole d'accord qui a été signé depuis mathusalem et pour lequel des questions surgissent encore."
Mais encore une fois, soutient-il, "il faut qu'on se le tiennent pour dit l'ensemble des points contenus dans ce point ne devrait souffrir d'aucune difficulté de matérialisation pour la bonne et simple raison que c'est un protocole réaliste et par conséquent réalisable"
Toutefois, la conduite à tenir après deux jours de grève, le G7 va se retrouver d'abord en réunion de commission scientifique. Ce dernier va effectuer le procès-verbal de cette rencontre et en réunion de plénière avec les secteurs généraux. "Et c'est à partir de ce partage de ce procès-verbal qu'on enverra certainement niveau de l'ensemble de nos bases que nous verrons quel est la conduite à tenir", promet le porte-parole de G7.
Saourou Séne secrétaire général du syndicat autonome des enseignants de moyen secondaires du Sénégal, le Saems par ailleurs, porte-parole du G7, a clairement signifié son non-satisfecit après 7 heures de discussions avec le ministre chargé du Suivi du Plan Sénégal Emergent (PSE), Cheikh Kanté, désigné médiateur entre le gouvernement et les syndicalistes d'enseignants.
"Il faut le reconnaître, nous sommes restés sur notre faim pour la bonne et simple raison que lorsque nous avons écouté la partie gouvernementale à exposer sur les réalisations par rapport à un protocole d'accord qui a été signé le 30 avril 2018, nous considérons encore qu'il y a des points très importants qui surgissent. Par exemple la question du système de rémunération des agents de l'État pour lequel nous avons pas encore de réponse complète. Nous avons aussi la question du corps administrateur scolaire, et le concours des passerelles qui devait s'organiser annuellement ne l'est pas encore. Entre autres points qui sont contenus dans ce protocole et qui n'ont pas encore fait l'objet de matérialisation", se désole t-il.
Poursuivant sa plaidoirie, le syndicaliste ajoute que ce qui est important, est "qu'on dépasse quand même le protocole d'accord qui a été signé depuis mathusalem et pour lequel des questions surgissent encore."
Mais encore une fois, soutient-il, "il faut qu'on se le tiennent pour dit l'ensemble des points contenus dans ce point ne devrait souffrir d'aucune difficulté de matérialisation pour la bonne et simple raison que c'est un protocole réaliste et par conséquent réalisable"
Toutefois, la conduite à tenir après deux jours de grève, le G7 va se retrouver d'abord en réunion de commission scientifique. Ce dernier va effectuer le procès-verbal de cette rencontre et en réunion de plénière avec les secteurs généraux. "Et c'est à partir de ce partage de ce procès-verbal qu'on enverra certainement niveau de l'ensemble de nos bases que nous verrons quel est la conduite à tenir", promet le porte-parole de G7.