La situation devient de plus en plus inquiétante pour les élèves, en effet l’école sénégalaise est dans une crise depuis un certain temps et selon, le Directeur de l’enseignement élémentaire Abdou Diaw « au-delà du 7 mai on va entrer dans la zone critique ».
« En ce qui concerne l’élémentaire, nous avons un objectif de 900 depuis heures par un an. Depuis qu’on a commencé à travailler, malgré les efforts fournis, nous n’avons pas réalisé l’objectif qui tourne autour de 800 à 860 heure » a indiqué Abdou Diaw.
A l’en croire, si on regarde le découpage de l’année scolaire, « nous avons d’octobre à juillet, près de 1200 heures, c’est pourquoi nous misons sur un quantum de 900 heures. Toutefois il soutient que l’élémentaire n’est pas comparable à l’université ou on a des unités de valeurs ou autres.
M. Diaw indique que ce qui importe au niveau de l’enseignement élémentaire, c’est de voir le temps perdu par rapport aux 900 heures. Pour lui, si cela est lié à la grève il faut voir à la fin quelles sont les dispositions qu’il faut prendre pour rattraper ce temps perdu.
Concernant la grève qui s’est déclaré depuis un moment maintenant, Abdou Diaw affirme qu’ils sont en train de faire les évaluations de la situation au niveau de l’ensemble des écoles. « Sauf qu’ici la situation varie d’une inspection à l’autre de sorte qu’il faut une étude spécifique pour avoir les détails de chaque structure » renseigne-t-il.
Abdou Diaw a indiqué a indiqué par ailleurs que, pour le moment le seuil critique n’est pas encore atteint. Et cela jusqu’à la fin de la première semaine du mois de mai prochain. « Nous sommes dans les délais raisonnable » soutient-il. Selon lui on n’est pas encore dans une situation qui pourrait conduire à une année irrécupérable. Toutefois, il précise que « si on dépasse cette semaine, la première semaine du mois de mai, la situation deviendra plus critique. Au-delà du 7 mai, on entrera vraiment dans la zone critique ». Indique le Directeur de l’enseignement élémentaire dans les colonnes de l'Observateur.
A l’en croire même s’il y a un dispositif, il n’est jamais sûr de pouvoir résorber le gap, surtout pour les classe intermédiaires. Mais, il ajoute par ailleurs qu’en ce qui concerne les classes d’examens, on est pas encore dans une situation de repousser la date des épreuves.
« En ce qui concerne l’élémentaire, nous avons un objectif de 900 depuis heures par un an. Depuis qu’on a commencé à travailler, malgré les efforts fournis, nous n’avons pas réalisé l’objectif qui tourne autour de 800 à 860 heure » a indiqué Abdou Diaw.
A l’en croire, si on regarde le découpage de l’année scolaire, « nous avons d’octobre à juillet, près de 1200 heures, c’est pourquoi nous misons sur un quantum de 900 heures. Toutefois il soutient que l’élémentaire n’est pas comparable à l’université ou on a des unités de valeurs ou autres.
M. Diaw indique que ce qui importe au niveau de l’enseignement élémentaire, c’est de voir le temps perdu par rapport aux 900 heures. Pour lui, si cela est lié à la grève il faut voir à la fin quelles sont les dispositions qu’il faut prendre pour rattraper ce temps perdu.
Concernant la grève qui s’est déclaré depuis un moment maintenant, Abdou Diaw affirme qu’ils sont en train de faire les évaluations de la situation au niveau de l’ensemble des écoles. « Sauf qu’ici la situation varie d’une inspection à l’autre de sorte qu’il faut une étude spécifique pour avoir les détails de chaque structure » renseigne-t-il.
Abdou Diaw a indiqué a indiqué par ailleurs que, pour le moment le seuil critique n’est pas encore atteint. Et cela jusqu’à la fin de la première semaine du mois de mai prochain. « Nous sommes dans les délais raisonnable » soutient-il. Selon lui on n’est pas encore dans une situation qui pourrait conduire à une année irrécupérable. Toutefois, il précise que « si on dépasse cette semaine, la première semaine du mois de mai, la situation deviendra plus critique. Au-delà du 7 mai, on entrera vraiment dans la zone critique ». Indique le Directeur de l’enseignement élémentaire dans les colonnes de l'Observateur.
A l’en croire même s’il y a un dispositif, il n’est jamais sûr de pouvoir résorber le gap, surtout pour les classe intermédiaires. Mais, il ajoute par ailleurs qu’en ce qui concerne les classes d’examens, on est pas encore dans une situation de repousser la date des épreuves.