Selon Waly Diop, on ne doit pas laisser aux seuls acteurs les questions d’éducation. «Au lieu de laisser les syndicats et le gouvernement sur leurs positions, nous devons nous impliquer», a-t-il déclaré lors d’un point de presse portant sur des solutions à la crise de l’école publique sénégalaise.
Le président du comité régional de Kaolack du Haut conseil du dialogue social du secteur de l’éducation d'ajouter que «les deux partis, depuis dix ans, en dépit des multiples rencontres, ne s’entendent toujours pas sur ce dossier". Pour lui, "il est temps que le peuple sénégalais se mobilise et s’implique dans ce conflit pour jouer un rôle de facilitateur».
A en croire Waly Diop, «la crise de l’école publique nous interpelle tous, c’est à nous de nous mobiliser pour trouver une solution et non laisser l’Etat et les syndicats d’enseignants continuer à camper depuis plusieurs années sur leurs positions respectives».
«Depuis dix ans, les deux partis peinent à trouver un terrain d’entente pour l’apaisement de la crise scolaire et pendant ce temps, chaque année, à pareil moment, près de 70% des parents d’élèves ne dorment plus, parce que leurs enfants sont angoissés », a-t-il martelé.
Le président du comité régional de Kaolack du Haut conseil du dialogue social du secteur de l’éducation d'ajouter que «les deux partis, depuis dix ans, en dépit des multiples rencontres, ne s’entendent toujours pas sur ce dossier". Pour lui, "il est temps que le peuple sénégalais se mobilise et s’implique dans ce conflit pour jouer un rôle de facilitateur».
A en croire Waly Diop, «la crise de l’école publique nous interpelle tous, c’est à nous de nous mobiliser pour trouver une solution et non laisser l’Etat et les syndicats d’enseignants continuer à camper depuis plusieurs années sur leurs positions respectives».
«Depuis dix ans, les deux partis peinent à trouver un terrain d’entente pour l’apaisement de la crise scolaire et pendant ce temps, chaque année, à pareil moment, près de 70% des parents d’élèves ne dorment plus, parce que leurs enfants sont angoissés », a-t-il martelé.