En deux jours, le journal le quotidien est démenti sur deux informations publiées à la Une du journal. Le mercredi 16 janvier sur deux probables Gamou à Tivaouane et l’incertitude sur la participation du nouveau khalife général de la famille SY de Tivaouane à la manifestation. Pour ce jeudi 17 janvier c’est sur la saisie des biens de l’ancien ministre Farba SENGHOR, le chargé de la propagande du Pds qui a un différend avec l’artiste Fara DIOUF sur un montant de 30 millions. A travers un communiqué M. SENGHOR a démenti l’information. Et pour ces deux informations démenties, il s’agit du même journaliste, mon ami Aly FALL qui ne doit pas être à l’aise aujourd’hui.
Farba SENGHOR parle de manipulation de la presse ce qui n’engage que lui, la presse cherche juste l’information et le rendez-vous chez-lui pour assister à la scène de saisie, c’est juste aussi pour chercher de l’information. Là, n’est pas le problème. Le problème c’est oui ou non l’information existe ce qui n’est pas le cas selon la personne concernée et d’autres journaux.
Nos amis du quotidien savent très bien que ce n’était pas très compliqué de vérifier une telle information auprès de Farba SENGHOR. Travailler toute une journée, tirer à 25.000 exemplaires, se retrouver avec une information considérée comme capitale à la Une fausse est démoralisant.
Les conséquences de la course effrénée sur l’information cause aussi beaucoup de tord à la presse en participant davantage à décrédibiliser celle-ci. Car il apparaît souvent des contradictions sur des informations connues du public concerné. Comme par exemple la mort d’un étudiant que certains journaux placent à Ross Béthio là où d’autres parlent de Rosso Sénégal. Les correspondants de la presse sont nombreux à Saint-Louis, c’est à moins de 50 kilomètres de Ross Béthio et à presque 100 kilomètres de Rosso Sénégal. Au-delà du déplacement qui ne doit pas poser de problème, les contacts téléphoniques pouvaient peut-être régler la question.
Si on peut accepter des contradictions sur des informations sensibles ou avec des enjeux politiques qui mettent en scène des acteurs avec des intérêts différents comme dans le cadre de la traque des biens mal acquis, des erreurs ou des contradictions sur de simples faits divers en plein jour sont inacceptables.
Farba SENGHOR parle de manipulation de la presse ce qui n’engage que lui, la presse cherche juste l’information et le rendez-vous chez-lui pour assister à la scène de saisie, c’est juste aussi pour chercher de l’information. Là, n’est pas le problème. Le problème c’est oui ou non l’information existe ce qui n’est pas le cas selon la personne concernée et d’autres journaux.
Nos amis du quotidien savent très bien que ce n’était pas très compliqué de vérifier une telle information auprès de Farba SENGHOR. Travailler toute une journée, tirer à 25.000 exemplaires, se retrouver avec une information considérée comme capitale à la Une fausse est démoralisant.
Les conséquences de la course effrénée sur l’information cause aussi beaucoup de tord à la presse en participant davantage à décrédibiliser celle-ci. Car il apparaît souvent des contradictions sur des informations connues du public concerné. Comme par exemple la mort d’un étudiant que certains journaux placent à Ross Béthio là où d’autres parlent de Rosso Sénégal. Les correspondants de la presse sont nombreux à Saint-Louis, c’est à moins de 50 kilomètres de Ross Béthio et à presque 100 kilomètres de Rosso Sénégal. Au-delà du déplacement qui ne doit pas poser de problème, les contacts téléphoniques pouvaient peut-être régler la question.
Si on peut accepter des contradictions sur des informations sensibles ou avec des enjeux politiques qui mettent en scène des acteurs avec des intérêts différents comme dans le cadre de la traque des biens mal acquis, des erreurs ou des contradictions sur de simples faits divers en plein jour sont inacceptables.