Le cadre unitaire de l’islam au Sénégal (Cudis) a tenu son atelier ce jeudi, en vue de l’élection présidentielle. Ceci, afin de mettre en place des stratégies pour mieux lutter contre la désinformation et les discours haineux en cette période de pré- campagne.
Il en profitait aussi pour dresser une liste de doléances sous forme de mémorandum à l’encontre des candidats et de celui qui sera le futur président du pays.
Lors de sa prise de parole, le Dr Cheikh Gueye, secrétaire général du CUDIS indique que le temps est très court. Du coup il sera très difficile de rencontrer les 20 candidats pour leur soumettre leurs doléances. De ce fait, le Cudis a tenu, cet atelier afin de faire passer le message auprès de ces candidats à la présidentielle de février 2024.
« Avec le temps qui est très court il est impossible de voir tous les candidats, donc nous avons initié ce séminaire comme moyen de transmission de l’information auprès de ces candidats et qui pourront chacun dans son programme le prendre en charge et peut -être tenir compte, lors de la campagne de ces desideratas des religieux », a déclaré le SG du Cudis.
Le cadre unitaire dans son mémorandum à proposer un certain nombre de points aux candidats pour qu’ils les intègrent dans leur programme. Il s’agit notamment la mise en place d’un Conseil supérieur islamique ou Conseil consultatif islamique, qui sera selon le Cudis un « cadre de concertation ou les religieux pourront porter leur voix et avoir des relations institutionnelles très officielles avec les pouvoirs en place. »
Un ministère chargé des Affaires Religieuses, car pour ces religieux, « la religion aujourd’hui n’est pas dans les schémas institutionnels, de l’Etat du Sénégal. Donc vue l’importance que la religion joue dans le quotidien des sénégalais qu’on puisse avoir un ministère ».
La création d’un plan spécial sur la modernisation des « Daaras », l’intégration de l’apprentissage religieuse dans le programme académique : « la prise en charge des Daaras qui pose un véritable problème dans le système éducatif sénégalais car aujourd’hui nous avons deux systèmes éducatifs, l’un pris en charge et l’autre laissé pour compte, donc il est important qu’on puisse prendre en charge le système éducatif traditionnel », a souligné le Cudis.
Création d’un système pour la sauvegarde de l’éducation et des bases de la famille, « les problèmes liés à la famille, aujourd’hui nous avons vu qu’au Sénégal les familles sont disloquées en raison des problèmes économiques et sociaux que vivent les populations. Donc la prise en charge de la famille pour sa reconstruction c’est un chemin important pour qu’on puisse avoir une société stable », a justifié, le cadre unitaire.
Egalement la création d’une semaine du vivre ensemble. La création d’un système pour la bonne utilisation de l’internet et des réseaux sociaux pour promouvoir la religion islamique », entre autres.
Il en profitait aussi pour dresser une liste de doléances sous forme de mémorandum à l’encontre des candidats et de celui qui sera le futur président du pays.
Lors de sa prise de parole, le Dr Cheikh Gueye, secrétaire général du CUDIS indique que le temps est très court. Du coup il sera très difficile de rencontrer les 20 candidats pour leur soumettre leurs doléances. De ce fait, le Cudis a tenu, cet atelier afin de faire passer le message auprès de ces candidats à la présidentielle de février 2024.
« Avec le temps qui est très court il est impossible de voir tous les candidats, donc nous avons initié ce séminaire comme moyen de transmission de l’information auprès de ces candidats et qui pourront chacun dans son programme le prendre en charge et peut -être tenir compte, lors de la campagne de ces desideratas des religieux », a déclaré le SG du Cudis.
Le cadre unitaire dans son mémorandum à proposer un certain nombre de points aux candidats pour qu’ils les intègrent dans leur programme. Il s’agit notamment la mise en place d’un Conseil supérieur islamique ou Conseil consultatif islamique, qui sera selon le Cudis un « cadre de concertation ou les religieux pourront porter leur voix et avoir des relations institutionnelles très officielles avec les pouvoirs en place. »
Un ministère chargé des Affaires Religieuses, car pour ces religieux, « la religion aujourd’hui n’est pas dans les schémas institutionnels, de l’Etat du Sénégal. Donc vue l’importance que la religion joue dans le quotidien des sénégalais qu’on puisse avoir un ministère ».
La création d’un plan spécial sur la modernisation des « Daaras », l’intégration de l’apprentissage religieuse dans le programme académique : « la prise en charge des Daaras qui pose un véritable problème dans le système éducatif sénégalais car aujourd’hui nous avons deux systèmes éducatifs, l’un pris en charge et l’autre laissé pour compte, donc il est important qu’on puisse prendre en charge le système éducatif traditionnel », a souligné le Cudis.
Création d’un système pour la sauvegarde de l’éducation et des bases de la famille, « les problèmes liés à la famille, aujourd’hui nous avons vu qu’au Sénégal les familles sont disloquées en raison des problèmes économiques et sociaux que vivent les populations. Donc la prise en charge de la famille pour sa reconstruction c’est un chemin important pour qu’on puisse avoir une société stable », a justifié, le cadre unitaire.
Egalement la création d’une semaine du vivre ensemble. La création d’un système pour la bonne utilisation de l’internet et des réseaux sociaux pour promouvoir la religion islamique », entre autres.