La station à essence et la pharmacie Pasteur ont été la proie de l’ardeur des jeunes opposants. Pour montrer leur colère après l'intervention des forces de l'ordre à base de gaz lacrymogènes, les jeunes sont remonter vers la station à essence qui jouxte la pharmacie pasteur.
Tout est parti de la volonté du refus opposants aux jeunes opposants qui voulaient acheter de l’essence.
«Non!», ont répondu les vendeurs d’essence. Une bagarre s’ensuivit. Très remontés, les jeunes ont ramassé de grosses pierres pour casser les vitres de la boutique SELECT de la station et de la pharmacie Pasteur qui la jouxte.
Après des conciliabules, les jeunes sont retournés vers l’Assemblée nationale en y laissant leur bidon rouge qu’ils voulaient remplir d’essence pour brûler certains endroits ciblés, non sans promettre de revenir.
A ces actes, il faut ajouter qu’au moins trois personnes dont un homme de plus de soixante ans, ont été grièvement blessées.
Tout est parti de la volonté du refus opposants aux jeunes opposants qui voulaient acheter de l’essence.
«Non!», ont répondu les vendeurs d’essence. Une bagarre s’ensuivit. Très remontés, les jeunes ont ramassé de grosses pierres pour casser les vitres de la boutique SELECT de la station et de la pharmacie Pasteur qui la jouxte.
Après des conciliabules, les jeunes sont retournés vers l’Assemblée nationale en y laissant leur bidon rouge qu’ils voulaient remplir d’essence pour brûler certains endroits ciblés, non sans promettre de revenir.
A ces actes, il faut ajouter qu’au moins trois personnes dont un homme de plus de soixante ans, ont été grièvement blessées.