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Il s’agissait pour Benoît Samba de voir un peu le résultat des fermes encadrés par le FNPJ et l’Agrophytex qui a noué un partenariat avec les producteurs de maïs en collaboration avec le fonds et ANIDA de voir des travailleurs organisés à la tâche.
Le partenariat consistant à développer des tests avec l’ISRA pour identifier des variétés hybrides de bonne qualité, avec des rendements potentiels, des fiches techniques pour accompagner ce programme, le but de la visite était de voir aussi le comportement des variétés développées à travers ce partenariat ISRA, producteurs et encadrements. Des fermes sont organisées par plusieurs coopératives d’hommes et de femmes.
« Nous avons deux types de variétés hybrides : Colonia et Ranqui. Colonia a un potentiel très élevé et un peu tardif, et Ranqui est beaucoup plus précoce. Nous avons fait un compte d’exploitation pour voir le coût lié à toutes les opérations » explique Gabriel Bassène, Consultant d’Agrophytex.
Le Directeur Financier d’Agrophytex, Stanislas Grégoire pour sa part explique que « les semences ont été données par leur partenaire de France COSADE déjà testées par ISRA. Selon Stanislas, les rendements escomptés vont de 7 à 9 tonnes par hectare. Et Dieu a fait que sous le contrôle de l’agronome les estimations que nous avons déjà va de l’ordre de 6 à et 8 tonne par hectares ».
Elhadji Dioume, un autre consultant d’Agrophytex, qui détaille l’itinéraire technique pour ces deux variétés et les difficultés rencontrées, précise qu’au départ la densité des semis qu’ils ont préconisés était de 75 000 pieds à l’hectare. Au finish après l’estimation global, il tourne autour de 40 000 pieds à l’hectare. Ce qui fait au moins qu’il ya 30% de maïs de rendement ».
Le ministre de la jeunesse, Benoit Sambou qui exprime ses vœux les plus sympathiques au nom du chef de l’Etat et de son gouvernement, fait savoir que le « secteur de l’agriculture est celui qui doit apporter la croissance, comme secteur prioritaire pour le développement de notre pays ».
« Il est prévu la relance de toutes les fermes sous la responsabilité du FNPJ pour faire en sorte que l’activité soit pérenne » selon le Ministre qui annonce « un programme des domaines agricoles communautaires de 100 milliards » qui « sera mis en place pour permettre d’aménager 30.000 hectares au profit des jeunes. Toutes les conditions seront mises à contribution pour qu’ils puissent être de véritables entrepreneurs agricoles ».
Tout pour « créer des conditions pour que des unités de transformation puissent être installées à côté des zones de productions » mais « au- delà de la transformation, les accompagner et surtout les femmes dans la chaîne de valeur de la commercialisation des produits ».
Le partenariat consistant à développer des tests avec l’ISRA pour identifier des variétés hybrides de bonne qualité, avec des rendements potentiels, des fiches techniques pour accompagner ce programme, le but de la visite était de voir aussi le comportement des variétés développées à travers ce partenariat ISRA, producteurs et encadrements. Des fermes sont organisées par plusieurs coopératives d’hommes et de femmes.
« Nous avons deux types de variétés hybrides : Colonia et Ranqui. Colonia a un potentiel très élevé et un peu tardif, et Ranqui est beaucoup plus précoce. Nous avons fait un compte d’exploitation pour voir le coût lié à toutes les opérations » explique Gabriel Bassène, Consultant d’Agrophytex.
Le Directeur Financier d’Agrophytex, Stanislas Grégoire pour sa part explique que « les semences ont été données par leur partenaire de France COSADE déjà testées par ISRA. Selon Stanislas, les rendements escomptés vont de 7 à 9 tonnes par hectare. Et Dieu a fait que sous le contrôle de l’agronome les estimations que nous avons déjà va de l’ordre de 6 à et 8 tonne par hectares ».
Elhadji Dioume, un autre consultant d’Agrophytex, qui détaille l’itinéraire technique pour ces deux variétés et les difficultés rencontrées, précise qu’au départ la densité des semis qu’ils ont préconisés était de 75 000 pieds à l’hectare. Au finish après l’estimation global, il tourne autour de 40 000 pieds à l’hectare. Ce qui fait au moins qu’il ya 30% de maïs de rendement ».
Le ministre de la jeunesse, Benoit Sambou qui exprime ses vœux les plus sympathiques au nom du chef de l’Etat et de son gouvernement, fait savoir que le « secteur de l’agriculture est celui qui doit apporter la croissance, comme secteur prioritaire pour le développement de notre pays ».
« Il est prévu la relance de toutes les fermes sous la responsabilité du FNPJ pour faire en sorte que l’activité soit pérenne » selon le Ministre qui annonce « un programme des domaines agricoles communautaires de 100 milliards » qui « sera mis en place pour permettre d’aménager 30.000 hectares au profit des jeunes. Toutes les conditions seront mises à contribution pour qu’ils puissent être de véritables entrepreneurs agricoles ».
Tout pour « créer des conditions pour que des unités de transformation puissent être installées à côté des zones de productions » mais « au- delà de la transformation, les accompagner et surtout les femmes dans la chaîne de valeur de la commercialisation des produits ».
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Département de Nioro une zone favorable a l’agriculture
Les bénéficiaires du projet ont montré leur satisfaction, leur engagement au ministre de la jeunesse pour la culture du mais dans leur zone. Ils ont attiré l’attention des autorités à leur soutenir dans le domaine de l’agriculture. Ces jeunes bénéficiaires du projet ont signifié aux autorités ainsi qu’aux partenaires privés que le département de Nioro est favorable à la culture telle que celle du maïs, le mil, l’arachide…Avec une bonne pluviométrie. Ces bénéficiaires ont demandé à ce que l’exemple de Keur Sette Diakhou soit élargi aux autres départements et communautés rurales.
« Monsieur le ministre nous avons dit que nous n’allons pas en France ni en Espagne. Parce qu’il n’y a aucun pays ou est descendu des Anges, ou des « Djine ». Ce sont des personnes qui sont parties de leur force et ont travaillé pour réussir. Nous voulons rester ici et réussir », explique le porte-parole.
Il poursuit : « l’Espagne faisait parti des pays les plus pauvres les années passées. Et pourquoi les gens se précipitent à y aller? », S’interroge t-il. Ces travailleurs ont demandé au ministre d’être leur porte parole auprès du gouvernement, « soyez notre porte parole auprès du président de la République dit lui que nous restons ici qu’il nous aide avec du matériel pour améliorer nos conditions de travail ».
« Depuis 2001 nous travaillons dans ce domaine à cet époque on n’a ni charrette ni tracteur. Donc c’est pas aujourd’hui que nous allons prendre la pirogue pour se rendre en Espagne ».
Les bénéficiaires du projet ont montré leur satisfaction, leur engagement au ministre de la jeunesse pour la culture du mais dans leur zone. Ils ont attiré l’attention des autorités à leur soutenir dans le domaine de l’agriculture. Ces jeunes bénéficiaires du projet ont signifié aux autorités ainsi qu’aux partenaires privés que le département de Nioro est favorable à la culture telle que celle du maïs, le mil, l’arachide…Avec une bonne pluviométrie. Ces bénéficiaires ont demandé à ce que l’exemple de Keur Sette Diakhou soit élargi aux autres départements et communautés rurales.
« Monsieur le ministre nous avons dit que nous n’allons pas en France ni en Espagne. Parce qu’il n’y a aucun pays ou est descendu des Anges, ou des « Djine ». Ce sont des personnes qui sont parties de leur force et ont travaillé pour réussir. Nous voulons rester ici et réussir », explique le porte-parole.
Il poursuit : « l’Espagne faisait parti des pays les plus pauvres les années passées. Et pourquoi les gens se précipitent à y aller? », S’interroge t-il. Ces travailleurs ont demandé au ministre d’être leur porte parole auprès du gouvernement, « soyez notre porte parole auprès du président de la République dit lui que nous restons ici qu’il nous aide avec du matériel pour améliorer nos conditions de travail ».
« Depuis 2001 nous travaillons dans ce domaine à cet époque on n’a ni charrette ni tracteur. Donc c’est pas aujourd’hui que nous allons prendre la pirogue pour se rendre en Espagne ».
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L’agriculture est le premier secteur pourvoyeur d’emplois
Le Ministre de la jeunesse, à travers son discours à montré que c’est avec un réel plaisir qu’il se retrouve à Nioro, pour la cérémonie d’installation de la cellule départementale de la dite localité, après avoir visité les fermes du FNPJ. « Les instructions qui ont été données par le Président de la République et notre démarche, c’est faire en sorte que chaque jeune quelque soit son lieu d’habitation, puisse bénéficier du même accès au ressource. Que ces ressources soient démocratisées et qu’elles ne soient pas affectées en fonction de la couleur politique, mais simplement qu’elles soient affectées aux jeunes qui le méritent (...). Il a signifié que : «c’est dans ce contexte que nous avons choisis avec le FNPJ de relancer deux programmes importants. Le programme des jeunes dans les fermes agricoles ».
Pour le Ministre ce programme va être relancé dans le cadre du Programme d’Appui à la Promotion de l’Emploi des jeunes et des femmes dont l’accord de financement a été accepté par la Banque Africaine de Développement (BAD). C’est un programme de 18 milliards qui va permettre en partie de relancer les 23 fermes agricoles du FNPJ. Il a souligné que cela permettra d’accompagner d’autres jeunes qui veulent installer des fermes. Car pour le Ministre Benoit Sambou, l’agriculture est le premier secteur pourvoyeur d’emploi. L’autre aspect c’est le programme des tous petits crédits. « Il s’agira pour nous de créer des conditions de modernisation des fermes, mais surtout de faire en sorte que la mise en place du tout petit crédit puisse être une occasion de promouvoir une activité économique chez les jeunes. Mais aussi de faire en sorte que d’autres projets tels que l’artisanat, l’aviculture et l’agriculture puissent être mis en place. Pour cela le ministre a fait savoir qu’ils ont choisi dans chaque département d’installer une cellule de certification et de suivi des projets.
Une visite qui à pris toute une journée et bouclée par un déjeuner à la préfecture de Nioro.
Le Ministre de la jeunesse, à travers son discours à montré que c’est avec un réel plaisir qu’il se retrouve à Nioro, pour la cérémonie d’installation de la cellule départementale de la dite localité, après avoir visité les fermes du FNPJ. « Les instructions qui ont été données par le Président de la République et notre démarche, c’est faire en sorte que chaque jeune quelque soit son lieu d’habitation, puisse bénéficier du même accès au ressource. Que ces ressources soient démocratisées et qu’elles ne soient pas affectées en fonction de la couleur politique, mais simplement qu’elles soient affectées aux jeunes qui le méritent (...). Il a signifié que : «c’est dans ce contexte que nous avons choisis avec le FNPJ de relancer deux programmes importants. Le programme des jeunes dans les fermes agricoles ».
Pour le Ministre ce programme va être relancé dans le cadre du Programme d’Appui à la Promotion de l’Emploi des jeunes et des femmes dont l’accord de financement a été accepté par la Banque Africaine de Développement (BAD). C’est un programme de 18 milliards qui va permettre en partie de relancer les 23 fermes agricoles du FNPJ. Il a souligné que cela permettra d’accompagner d’autres jeunes qui veulent installer des fermes. Car pour le Ministre Benoit Sambou, l’agriculture est le premier secteur pourvoyeur d’emploi. L’autre aspect c’est le programme des tous petits crédits. « Il s’agira pour nous de créer des conditions de modernisation des fermes, mais surtout de faire en sorte que la mise en place du tout petit crédit puisse être une occasion de promouvoir une activité économique chez les jeunes. Mais aussi de faire en sorte que d’autres projets tels que l’artisanat, l’aviculture et l’agriculture puissent être mis en place. Pour cela le ministre a fait savoir qu’ils ont choisi dans chaque département d’installer une cellule de certification et de suivi des projets.
Une visite qui à pris toute une journée et bouclée par un déjeuner à la préfecture de Nioro.
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