François Hollande, Président de la république française avait son « Moi Président.. ». Mahammad Boun Abdallah Dione, premier ministre du Sénégal, adepte de l’anaphore, a son « La réalité de notre tissu économique, c’est.. », pour décrire les difficultés économiques internes comme externes du Sénégal.
En effet, selon le chef du gouvernement, le tissu économique présente des signes de fragilité depuis plusieurs décennies, avec des niveaux de croissance assez faibles
« Les moteurs traditionnels de la croissance s’essoufflent, dans un contexte de faible diversification et de productivité limitée des facteurs » affirme-t-il.
La réalité de notre tissu économique, c’est, d’après l’ancien chef de cabinet de Macky Sall, alors président de l’assemblée nationale, d’abord un secteur agricole qui souffre d’une insuffisante structuration de ses chaînes de valeurs, d’un faible développement des productions à haute valeur ajoutée et qui demeure très vulnérable aux aléas climatiques, bien que concentrant plus de 60% des actifs.
La réalité de notre tissu économique, c’est aussi la prédominance d’un secteur informel, concentrant 95 % des emplois et plus de la moitié du PIB, avec de faibles niveaux de productivité, ainsi qu’un déficit commercial lourd et en aggravation, représentant, par moments, près de 20% du PIB, mais aussi un tissu industriel en difficulté.
La réalité de notre tissu économique, c’est encore un environnement des affaires caractérisé par un déficit d’attractivité, de compétitivité et entravé par une faible disponibilité de financements adaptés pour les activités de production.
La réalité de notre économie, c’est également des marges de manœuvre budgétaires étroites qui limitent nos capacités d’investissement, des problèmes d’efficacité de la dépense publique et un faible niveau d’épargne intérieure.
Enfin, « notre économie continue de souffrir d’une contrainte forte liée à la faible disponibilité et au coût élevé de l’énergie, ainsi que des lourdeurs et autres dysfonctionnements qui entravent l’efficacité de notre Administration.Ce sont ces tendances qu’il nous faut vite inverser, même si au plan externe la mondialisation nous impose un contexte de compétition exacerbée où chaque pays doit se positionner en faisant valoir ses atouts, pour saisir les opportunités offertes par les marchés » espère Mahhamed Dionne.
En effet, selon le chef du gouvernement, le tissu économique présente des signes de fragilité depuis plusieurs décennies, avec des niveaux de croissance assez faibles
« Les moteurs traditionnels de la croissance s’essoufflent, dans un contexte de faible diversification et de productivité limitée des facteurs » affirme-t-il.
La réalité de notre tissu économique, c’est, d’après l’ancien chef de cabinet de Macky Sall, alors président de l’assemblée nationale, d’abord un secteur agricole qui souffre d’une insuffisante structuration de ses chaînes de valeurs, d’un faible développement des productions à haute valeur ajoutée et qui demeure très vulnérable aux aléas climatiques, bien que concentrant plus de 60% des actifs.
La réalité de notre tissu économique, c’est aussi la prédominance d’un secteur informel, concentrant 95 % des emplois et plus de la moitié du PIB, avec de faibles niveaux de productivité, ainsi qu’un déficit commercial lourd et en aggravation, représentant, par moments, près de 20% du PIB, mais aussi un tissu industriel en difficulté.
La réalité de notre tissu économique, c’est encore un environnement des affaires caractérisé par un déficit d’attractivité, de compétitivité et entravé par une faible disponibilité de financements adaptés pour les activités de production.
La réalité de notre économie, c’est également des marges de manœuvre budgétaires étroites qui limitent nos capacités d’investissement, des problèmes d’efficacité de la dépense publique et un faible niveau d’épargne intérieure.
Enfin, « notre économie continue de souffrir d’une contrainte forte liée à la faible disponibilité et au coût élevé de l’énergie, ainsi que des lourdeurs et autres dysfonctionnements qui entravent l’efficacité de notre Administration.Ce sont ces tendances qu’il nous faut vite inverser, même si au plan externe la mondialisation nous impose un contexte de compétition exacerbée où chaque pays doit se positionner en faisant valoir ses atouts, pour saisir les opportunités offertes par les marchés » espère Mahhamed Dionne.
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