La détermination à laver son honneur qui se lisait sur le visage de Dominique-Strauss Kahn ce dimanche nuit à New-York ne devait pas faire illusion : le Français va quitter précipitamment son siège à la tête de l'institution internationale, après un second scandale sexuel connu, le premier étant intervenu un an ç peine après son installation à New-York.
Tout, dans cette prétendue affaire de "tentative de viol, agression sexuelle et séquestration" de ce samedi semble sonner faux : un booking out (départ) régulier après une agression présumée alors que la soit-disant victime aurait dû déjà avoir averti ses employeurs et la police, un enregistrement régulier sur vol régulier deux heures plus tard sans problème, un appel à la réception de l'hôtel pour s'assurer que le téléphone disparu s'y trouvait et, enfin, une arrestation discrète avant une publicité mondiale qui a fait l'effet d'un tsunami.
A l'inverse, comme toujours dans pareille situation, quelques indices qui semblent conforter la thèse de l'agression : quelques traces de violences relevées sur la "victime", des "égratignures" relevées l'"assaillant" et qui nécessiteraient des enquêtes biologiques plus poussées, un curieux "oubli" d'un téléphone portable et de quelques effets personnels, une sorte de tentative d'évasion et l'arrestation
.
Assurément, ce faux départ précipité semble en cacher un autre que l'enquête permettra peut-être de déceler avant ...la présidentielle française de 2012.
Tout, dans cette prétendue affaire de "tentative de viol, agression sexuelle et séquestration" de ce samedi semble sonner faux : un booking out (départ) régulier après une agression présumée alors que la soit-disant victime aurait dû déjà avoir averti ses employeurs et la police, un enregistrement régulier sur vol régulier deux heures plus tard sans problème, un appel à la réception de l'hôtel pour s'assurer que le téléphone disparu s'y trouvait et, enfin, une arrestation discrète avant une publicité mondiale qui a fait l'effet d'un tsunami.
A l'inverse, comme toujours dans pareille situation, quelques indices qui semblent conforter la thèse de l'agression : quelques traces de violences relevées sur la "victime", des "égratignures" relevées l'"assaillant" et qui nécessiteraient des enquêtes biologiques plus poussées, un curieux "oubli" d'un téléphone portable et de quelques effets personnels, une sorte de tentative d'évasion et l'arrestation
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Assurément, ce faux départ précipité semble en cacher un autre que l'enquête permettra peut-être de déceler avant ...la présidentielle française de 2012.