Makhtar Cissé en conférence de presse commune avec l’ambassade de France au Sénégal, du Dg de la Caisse de dépôt et de la Société Greenwich, a fait une présentation du démarrage du projet Senergy II, une centrale photovoltaïque d’une puissance de 20 mégawatts.
«La centrale sera constituée de 75 000 panneaux solaires, et les tables de panneaux représentent une longueur cumulée de 20 km», explique le Directeur général de la SENELEC. Et dit ce dernier: «180 000 personnes seront électrifiées par la centrale ». Le Coût de l’investissement s’élève à 17 milliards de F CFA et l’économie pour le gouvernement sera de 4.5 millions € par an soit 88 millions sur la durée contractuelle de 20 ans, avec 150 emplois créés pendant les phases de construction, a en croire toujours le Dg de la SENELEC.
Et d'ajouter par ailleurs que « 25 000 tonnes de Co2 vont être évitées par an avec la Participation des populations locales aux bénéfices du projet». Au cours de son exposé, Makhtar Cissé a signifié que «cette belle localité sur le fleuve Sénégal verra dans six (6) mois, sortir de terre une centrale de 20 mégawatts en énergie renouvelable solaire qui sera injectée dans le réseau de SENELEC sur la base d’un contrat signé avec la société Sinergi II, représenté par son directeur général, Mamadou Sow. Et sur 20 ans, ce contrat d’énergie permettra de fournir de l’électricité à au moins 200. 000 abonnés de SENELEC. Donc c’est un projet extrêmement important dont le financement était structuré par madame Charlotte Aubin. Greenwich est un partenaire international de premier ordre et qui a, la particularité de financer que les énergies renouvelables et avec des partenaires internationaux mais également africains».
Pour lui, « l’énergie est à la base du développement dans le long cheminement parfois difficile du Sénégal dans sa longue marche vers le développement, la question énergétique a été souvent soulevée. Nous sommes en phase aujourd’hui de relever ce défi grâce aux efforts qui ont été faits, grâce à la vision qui a été clairement affirmée par le Président de la République, Macky Sall grâce au document du Plan Sénégal émergent (Pse). Ce qui permet rien qu’en énergie de pouvoir mettre en service en 2016, 250 mégawatts dans le réseau de Senelec. 250 mégawatts correspondent à la puissance installée au Sénégal de l’indépendance à 2000. Mais également à la puissance installée au Sénégal entre 2000 et 2012 ».
Charlotte Aubin pour sa part a fait savoir qu'«on n’est à présent à un coup de construction de moins d’1 million euro par mégawatt. On était quatre (4) fois plus cher, il y a encore cinq (5) ans. Par ailleurs, la centrale de Bokhol que nous construisons produira 34 Gwh par an ».
«La centrale sera constituée de 75 000 panneaux solaires, et les tables de panneaux représentent une longueur cumulée de 20 km», explique le Directeur général de la SENELEC. Et dit ce dernier: «180 000 personnes seront électrifiées par la centrale ». Le Coût de l’investissement s’élève à 17 milliards de F CFA et l’économie pour le gouvernement sera de 4.5 millions € par an soit 88 millions sur la durée contractuelle de 20 ans, avec 150 emplois créés pendant les phases de construction, a en croire toujours le Dg de la SENELEC.
Et d'ajouter par ailleurs que « 25 000 tonnes de Co2 vont être évitées par an avec la Participation des populations locales aux bénéfices du projet». Au cours de son exposé, Makhtar Cissé a signifié que «cette belle localité sur le fleuve Sénégal verra dans six (6) mois, sortir de terre une centrale de 20 mégawatts en énergie renouvelable solaire qui sera injectée dans le réseau de SENELEC sur la base d’un contrat signé avec la société Sinergi II, représenté par son directeur général, Mamadou Sow. Et sur 20 ans, ce contrat d’énergie permettra de fournir de l’électricité à au moins 200. 000 abonnés de SENELEC. Donc c’est un projet extrêmement important dont le financement était structuré par madame Charlotte Aubin. Greenwich est un partenaire international de premier ordre et qui a, la particularité de financer que les énergies renouvelables et avec des partenaires internationaux mais également africains».
Pour lui, « l’énergie est à la base du développement dans le long cheminement parfois difficile du Sénégal dans sa longue marche vers le développement, la question énergétique a été souvent soulevée. Nous sommes en phase aujourd’hui de relever ce défi grâce aux efforts qui ont été faits, grâce à la vision qui a été clairement affirmée par le Président de la République, Macky Sall grâce au document du Plan Sénégal émergent (Pse). Ce qui permet rien qu’en énergie de pouvoir mettre en service en 2016, 250 mégawatts dans le réseau de Senelec. 250 mégawatts correspondent à la puissance installée au Sénégal de l’indépendance à 2000. Mais également à la puissance installée au Sénégal entre 2000 et 2012 ».
Charlotte Aubin pour sa part a fait savoir qu'«on n’est à présent à un coup de construction de moins d’1 million euro par mégawatt. On était quatre (4) fois plus cher, il y a encore cinq (5) ans. Par ailleurs, la centrale de Bokhol que nous construisons produira 34 Gwh par an ».