Khalifa Sall, conduisant une délégation de la mairie de Dakar, a sacrifié à sa traditionnelle visite d’avant-magal. En escale chez Sokhna Bali Mbacké, la délégation est aussi allée voir le Khalife général des mourides Serigne Sidi Moukhtar Mbacké, avant de s’entretenir avec Serigne Modou Mahfouz et Serigne Abdou Mbacké Gainfé Fatma.Dans l’entretien qu’il nous a accordé, le maire est revenu sur l’énorme problème d’exiguïté auquel, il est confronté à Dakar. Pour ce qui concerne le litige qui l’oppose à un tiers relativement au cimetière de Yoff, Khalifa Sall se dit prêt à aller jusqu’au bout.
Revenant sur le problème, il dira qu’« il y a eu un lotissement auquel nous nous étions opposés au cimetière de Yoff. Le propriétaire a vendu les maisons. Ils ont voulu construire, on s’est opposé. La personne qui avait voulu nous imposer sa loi, nous avons réagi au nom de la légalité. Aujourd’hui, c’est une affaire pendante à la justice et nous y retournons le 15 janvier et nous avons confiance en la justice. Ce qu’il y a, c’est que Dakar n’a plus de cimetière, ni musulman, ni catholique ».
Soucieux de ce qui adviendra si les choses ne bougent pas dans ce sens, Khalifa Sall se voudra intransigeant : « Si nous laissons faire, nous serons obligés d'enterrer nos morts hors de Dakar. Le peu d’espace qu’il nous reste, nous voudrions qu’il soit consacré exclusivement à nos morts. Si j’étais à refaire, je l’aurai refait ».
Le docteur Malick Diop qui faisait partie de la délégation, sur un autre sujet, se contentera de demander au Président Wade d’observer une retraite et de cesser de déranger le régime actuel.
Revenant sur le problème, il dira qu’« il y a eu un lotissement auquel nous nous étions opposés au cimetière de Yoff. Le propriétaire a vendu les maisons. Ils ont voulu construire, on s’est opposé. La personne qui avait voulu nous imposer sa loi, nous avons réagi au nom de la légalité. Aujourd’hui, c’est une affaire pendante à la justice et nous y retournons le 15 janvier et nous avons confiance en la justice. Ce qu’il y a, c’est que Dakar n’a plus de cimetière, ni musulman, ni catholique ».
Soucieux de ce qui adviendra si les choses ne bougent pas dans ce sens, Khalifa Sall se voudra intransigeant : « Si nous laissons faire, nous serons obligés d'enterrer nos morts hors de Dakar. Le peu d’espace qu’il nous reste, nous voudrions qu’il soit consacré exclusivement à nos morts. Si j’étais à refaire, je l’aurai refait ».
Le docteur Malick Diop qui faisait partie de la délégation, sur un autre sujet, se contentera de demander au Président Wade d’observer une retraite et de cesser de déranger le régime actuel.