
L’accord, dont le contenu n’a pas été révélé, a été signé "dans la transparence’’ et sera publié, a ajouté le Chef de l’Etat français.
Le président français a par ailleurs annoncé que 130 millions d’euros (plus de 85 milliards de francs CFA) seront débloqués au profit du Sénégal dans le cadre d’un accord budgétaire.
Le président de la République, Macky Sall, a qualifié d’’’importants’’ ces deux accords. Parlant spécifiquement de l’accord de défense, il a souligné qu’il ’’permettra de définir les nouvelles relations militaires entre la France et le Sénégal dans un contexte de démocratisation, de transparence (...)’’.
En 2011, la France a vu ses effectifs militaires au Sénégal passer de 1200 à 300 hommes avec la création des éléments français au Sénégal (EFS), après le départ des Forces françaises du Cap Vert (FFCV), qui avaient été mises en place en 1974.
La dissolution des FFCV faisait suite à la volonté exprimée en février 2010 par l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, de voir le Sénégal reprendre les bases françaises sur son territoire pour y exprimer sa ’’souveraineté’’.
Les deux pays avaient signé en avril 2010 un nouvel accord de coopération militaire qui prévoyait de faire de l’EFS, ‘’une plate-forme de coopération militaire opérationnelle, bilatérale et générale’’ censée être mise au service des armées des 15 pays de la Cedeao et de la Mauritanie.
Arrivé mardi à Paris pour sa première visite officielle en France, le président de la République est notamment accompagné du ministre des Forces armées, Augustin Tine, et du chef d’Etat-major général des Armées, le général Abdoulaye Fall.
source:APS
Le président français a par ailleurs annoncé que 130 millions d’euros (plus de 85 milliards de francs CFA) seront débloqués au profit du Sénégal dans le cadre d’un accord budgétaire.
Le président de la République, Macky Sall, a qualifié d’’’importants’’ ces deux accords. Parlant spécifiquement de l’accord de défense, il a souligné qu’il ’’permettra de définir les nouvelles relations militaires entre la France et le Sénégal dans un contexte de démocratisation, de transparence (...)’’.
En 2011, la France a vu ses effectifs militaires au Sénégal passer de 1200 à 300 hommes avec la création des éléments français au Sénégal (EFS), après le départ des Forces françaises du Cap Vert (FFCV), qui avaient été mises en place en 1974.
La dissolution des FFCV faisait suite à la volonté exprimée en février 2010 par l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, de voir le Sénégal reprendre les bases françaises sur son territoire pour y exprimer sa ’’souveraineté’’.
Les deux pays avaient signé en avril 2010 un nouvel accord de coopération militaire qui prévoyait de faire de l’EFS, ‘’une plate-forme de coopération militaire opérationnelle, bilatérale et générale’’ censée être mise au service des armées des 15 pays de la Cedeao et de la Mauritanie.
Arrivé mardi à Paris pour sa première visite officielle en France, le président de la République est notamment accompagné du ministre des Forces armées, Augustin Tine, et du chef d’Etat-major général des Armées, le général Abdoulaye Fall.
source:APS
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