Les populations des Sicap Liberté 1 à 6, sont sorties dans la rue pour exprimer leur profonde indignation face aux « occupations anarchiques, l’installation illégale du marché sur le rond-point Liberté et des taxis clandos », sur les artères principales de leurs cités. Ils invitent ainsi, le nouveau régime en place a procédé à la destruction de ces installations et commerces. À défaut, ils s’en chargeront eux même.
« On ne reconnaît plus notre Sicap », a lancé Thierno Diène, président de l’ASC nouveau 6, et ancien vice -adjoint du président des conseillers du quartier Sicap. Ajoutant : « Nous avons engagé ce combat depuis 2001. Nous avons respecté les procédures légales requises par les autorités étatiques, nous avons rencontré qui de droit, moi en personne, j’ai rencontré Macky Sall à ce sujet. Mais rien. Ce qui nous indigne le plus, c’est le fait qu'Ibrahima Sall, le directeur de la Sicap ait vendu nos terrains. Les terrains en question sont le terrain, Cosom, l’esplanade de la mosquée. Ces lieux qu’il a vendus, ce sont ces lieux où nous effectuons la prière du vendredi et à l'occasion des grandes fêtes religieuses comme la Tabaski, la Korité, et même les prières mortuaires. »
« Le comble », poursuit M. Diène « par exemple, lorsque le dirigeant de la mosquée a perdu sa mère, on a été obligé de l’amener dans un autre lieu pour la prière alors qu’on a notre propre espace réservé à ces genres de cérémonies. On a usé tous les recours possibles, j’ai même conduit Abdou Karim Fofana, et Zara Yan Thiam sur les lieux pour constater d’eux -mêmes les faits. Nous avons espoir qu’avec les nouvelles autorités en place. On obtiendra gain de cause », a lancé l’ex -conseiller adjoint.
Abondant dans le même sillage, Mame Moussé Gueye, président du collectif des résidents de liberté 6 à d’abord fait savoir que le collectif a été transformé en syndicat depuis le samedi 20 juillet 2024. Venant au fait, il déclare que "depuis un certain temps nous demandons aux autorités d’organiser un déguerpissement pour que nous puissions récupérer notre environnement".
Depuis février, on a fait des requêtes, on a écrit, il y a même eu des plans de déguerpissement qui ont été programmé pour : le 14 juin, mais ça été déprogrammé à la dernière minute, aussi le 28 juillet, pareil, le dernier, c’était il y a 2 semaines, même suite déprogrammé à la dernière minute. C’est d’ailleurs, ce qui a motivé cette manifestation. Mais si les autorités ne le font pas on s’en chargera nous-même par ce qu'on est capable de le faire en moins de 24 heures ».
« On ne reconnaît plus notre Sicap », a lancé Thierno Diène, président de l’ASC nouveau 6, et ancien vice -adjoint du président des conseillers du quartier Sicap. Ajoutant : « Nous avons engagé ce combat depuis 2001. Nous avons respecté les procédures légales requises par les autorités étatiques, nous avons rencontré qui de droit, moi en personne, j’ai rencontré Macky Sall à ce sujet. Mais rien. Ce qui nous indigne le plus, c’est le fait qu'Ibrahima Sall, le directeur de la Sicap ait vendu nos terrains. Les terrains en question sont le terrain, Cosom, l’esplanade de la mosquée. Ces lieux qu’il a vendus, ce sont ces lieux où nous effectuons la prière du vendredi et à l'occasion des grandes fêtes religieuses comme la Tabaski, la Korité, et même les prières mortuaires. »
« Le comble », poursuit M. Diène « par exemple, lorsque le dirigeant de la mosquée a perdu sa mère, on a été obligé de l’amener dans un autre lieu pour la prière alors qu’on a notre propre espace réservé à ces genres de cérémonies. On a usé tous les recours possibles, j’ai même conduit Abdou Karim Fofana, et Zara Yan Thiam sur les lieux pour constater d’eux -mêmes les faits. Nous avons espoir qu’avec les nouvelles autorités en place. On obtiendra gain de cause », a lancé l’ex -conseiller adjoint.
Abondant dans le même sillage, Mame Moussé Gueye, président du collectif des résidents de liberté 6 à d’abord fait savoir que le collectif a été transformé en syndicat depuis le samedi 20 juillet 2024. Venant au fait, il déclare que "depuis un certain temps nous demandons aux autorités d’organiser un déguerpissement pour que nous puissions récupérer notre environnement".
Depuis février, on a fait des requêtes, on a écrit, il y a même eu des plans de déguerpissement qui ont été programmé pour : le 14 juin, mais ça été déprogrammé à la dernière minute, aussi le 28 juillet, pareil, le dernier, c’était il y a 2 semaines, même suite déprogrammé à la dernière minute. C’est d’ailleurs, ce qui a motivé cette manifestation. Mais si les autorités ne le font pas on s’en chargera nous-même par ce qu'on est capable de le faire en moins de 24 heures ».