Un nouveau projet porté par le Goethe institut et l’association des salseros du Sénégal vient de voir le jour. Il s’articule autour de la création d’une nouvelle école de formation en musique. Elle est d’ailleurs baptisée « centres d’échanges musicaux ». Les cibles du projet restent les enfants et les jeunes en déperdition scolaire ou non. Ils doivent être âgés entre six et dix huit ans. Dans sa première phase, le projet vise à former 30 jeunes. Ce pendant trois ans avec trois jours de cours par semaine. Ces informations ont été données ce jeudi au Goethe institut à Dakar, par les promoteurs.
Ainsi, le solfège, l’informatique musicale, la théorie musicale, l’analyse musicale et l’utilisation des archives dans le domaine enseigné restent pour le moment les modules choisis pour la formation. Ses promoteurs ne souhaitent cependant pas encore bénéficier d’un financement de l’Etat. En effet, soutient Lafti Bengeloune, président de l’association des Salseros du Sénégal, « l’on ne souhaite pas bénéficier d’appoints financiers de l’Etat afin de garder notre autonomie du point de vue de l’orientation pédagogique ».
Par ailleurs, le projet s’est assigné différents objectifs dont « le recadrage de l’apprentissage de la musique, l’ouverture du champ intellectuel des enfants vers l’abstraction donc vers les sciences, par l’apprentissage des arts particulièrement de la musique », selon Bengeloune. Encore qu’il souhaite rompre avec les pratiques existantes qui consistent à former des théoriciens de la musique et non des praticiens. Par ricochet, les bénéficiaires auront droit à « un enseignement pratique principalement orienté vers la maîtrise de l’instrument et de l’outil informatique ».
Le projet qui concerne pour le moment que le centre ville de Dakar se verra décentralisé d’abord en banlieue ensuite dans les régions.
Ainsi, le solfège, l’informatique musicale, la théorie musicale, l’analyse musicale et l’utilisation des archives dans le domaine enseigné restent pour le moment les modules choisis pour la formation. Ses promoteurs ne souhaitent cependant pas encore bénéficier d’un financement de l’Etat. En effet, soutient Lafti Bengeloune, président de l’association des Salseros du Sénégal, « l’on ne souhaite pas bénéficier d’appoints financiers de l’Etat afin de garder notre autonomie du point de vue de l’orientation pédagogique ».
Par ailleurs, le projet s’est assigné différents objectifs dont « le recadrage de l’apprentissage de la musique, l’ouverture du champ intellectuel des enfants vers l’abstraction donc vers les sciences, par l’apprentissage des arts particulièrement de la musique », selon Bengeloune. Encore qu’il souhaite rompre avec les pratiques existantes qui consistent à former des théoriciens de la musique et non des praticiens. Par ricochet, les bénéficiaires auront droit à « un enseignement pratique principalement orienté vers la maîtrise de l’instrument et de l’outil informatique ».
Le projet qui concerne pour le moment que le centre ville de Dakar se verra décentralisé d’abord en banlieue ensuite dans les régions.