La Commission de protection des données personnelles (CDP) a déploré et condamné vivement la diffusion par la presse en ligne et le partage dans les réseaux sociaux d’une vidéo de l’agression d’une dame à Sacré-Cœur, dans un communiqué transmis à PressAfrik.
La CDP, dès qu’elle a était formellement saisi par Amnesty International Sénégal, a diligenté une procédure auprès du Parquet de Dakar, pour une suite judiciaire à cette l’affaire. A la suite de la saisine du Parquet, elle a aussi envoyé un signalement et une demande de suppression de la vidéo aux plateformes concernées (Google, Dailymotion, Facebook).
Par ailleurs, la CDP a attiré l’attention de la presse en ligne sur ses obligations légales, réglementaires et déontologiques. La loi n°2008-12 du 25 janvier 2008 sur les données personnelles n’admet un régime dérogatoire que dans la mesure où la ligne éditoriale respecte les droits fondamentaux des individus, rappelle la commission.
La CDP rappelle aussi aux citoyens usagers des réseaux sociaux que le partage et la divulgation d’images, attentatoires à la vie privée et à la dignité de la personne humaine, sont réprimés par le Code pénal, réaffirmant son engagement aux côtés de la Justice, de la Police nationale, de la Gendarmerie nationale et de la société civile comme garants du respect de la vie privée.
Au finish, la Commission a réitéré aussi sa disponibilité à l’ensemble des citoyens pour renforcer la protection des données personnelles et la sauvegarde de la vie privée au Sénégal.
La CDP, dès qu’elle a était formellement saisi par Amnesty International Sénégal, a diligenté une procédure auprès du Parquet de Dakar, pour une suite judiciaire à cette l’affaire. A la suite de la saisine du Parquet, elle a aussi envoyé un signalement et une demande de suppression de la vidéo aux plateformes concernées (Google, Dailymotion, Facebook).
Par ailleurs, la CDP a attiré l’attention de la presse en ligne sur ses obligations légales, réglementaires et déontologiques. La loi n°2008-12 du 25 janvier 2008 sur les données personnelles n’admet un régime dérogatoire que dans la mesure où la ligne éditoriale respecte les droits fondamentaux des individus, rappelle la commission.
La CDP rappelle aussi aux citoyens usagers des réseaux sociaux que le partage et la divulgation d’images, attentatoires à la vie privée et à la dignité de la personne humaine, sont réprimés par le Code pénal, réaffirmant son engagement aux côtés de la Justice, de la Police nationale, de la Gendarmerie nationale et de la société civile comme garants du respect de la vie privée.
Au finish, la Commission a réitéré aussi sa disponibilité à l’ensemble des citoyens pour renforcer la protection des données personnelles et la sauvegarde de la vie privée au Sénégal.