Quand Beckham refuse de donner à l'Unicef
Ambassadeur de l'Unicef depuis 2005, David Beckham a même un fonds à son nom (Fonds 7). Mais la star britannique évite à tout prix d'y contribuer, explique Mediapart qui publie en France les révélations de Football Leaks. «Je n'ai pas envie de verser mon argent personnel pour cette cause», écrit-il un jour à son ami Simon Oliveira, directeur opérationnel de l'agence Doyen Global. Ce dernier lui suggère alors de participer à un dîner de bienfaisance au Congo ou à une remise de prix à Shanghaï, rétribués un million de dollars. Puis de verser cet argent sur le fonds. Réponse de la star : «Verser ce million sur le fonds, c'est comme mettre mon propre argent. S'il n'y avait pas ce fonds, l'argent serait pour moi. Ce putain d'argent est à moi».
Quand Beckham tente d'arnaquer l'Unicef
Lorsque les sponsors de David Beckham l'envoient en Asie, David Beckham réalise une mission pour l'Unicef au Cambodge. Sa société DBV envoie alors une facture de 8 000 euros à l'organisation internationale concernant un billet d'avion qu'il n'a pas payé, puisqu'il s'est déplacé dans un jet affrété par ses sponsors. Surprise, l'Unicef refuse : «Il a voyagé en jet privé et le Fonds n'a pas à payer pour un billet qu'il n'a pas pris.»
Quand Beckham veut aller dans l'espace
Le rêve de Beckham est de voyager dans l'espace. La société Doyen Global monte donc un plan de financement pour cette lubie qui coûte 35 millions de dollars. Un sponsor principal, plusieurs secondaires et des diffuseurs payeraient pour ça. De même que des donateurs privés peu recommandables pour quelqu'un qui est sensé représenter l'Unicef : les dictateurs Ali Bongo (Gabon), Ilham Aliyev (Azerbaïdjan) et Noursoultan Nazarbaiev (Kazakhstan) sont approchés. Sans succès pour le moment.
Quand Beckham enrage de ne pas être anobli
Depuis 2013, David Beckham fait tout pour être anobli. Fin 2013, Doyen Global profite d'une émission sur ITV pour que le présentateur s'enthousiasme sur l'obtention possible du titre de « Sir ». Six mois plus tard, il drague le pouvoir politique en enregistrant un message contre l'indépendance écossaise. Malheureusement pour lui, l'establishment est inflexible. C'est surtout le Fisc qui empêche son anoblissement en s'insurgeant contre les montages financiers «artificiels» dont il est l'auteur pour échapper à l'impôt. Depuis juillet 2014, il passe par la société Ingenious Media, qui investit dans des films comme Avatar ou Die Hard 4, pour en payer moins. Selon Mediapart, les Beckham ont refusé l'accord financier proposé pour purger ce conflit.
Ambassadeur de l'Unicef depuis 2005, David Beckham a même un fonds à son nom (Fonds 7). Mais la star britannique évite à tout prix d'y contribuer, explique Mediapart qui publie en France les révélations de Football Leaks. «Je n'ai pas envie de verser mon argent personnel pour cette cause», écrit-il un jour à son ami Simon Oliveira, directeur opérationnel de l'agence Doyen Global. Ce dernier lui suggère alors de participer à un dîner de bienfaisance au Congo ou à une remise de prix à Shanghaï, rétribués un million de dollars. Puis de verser cet argent sur le fonds. Réponse de la star : «Verser ce million sur le fonds, c'est comme mettre mon propre argent. S'il n'y avait pas ce fonds, l'argent serait pour moi. Ce putain d'argent est à moi».
Quand Beckham tente d'arnaquer l'Unicef
Lorsque les sponsors de David Beckham l'envoient en Asie, David Beckham réalise une mission pour l'Unicef au Cambodge. Sa société DBV envoie alors une facture de 8 000 euros à l'organisation internationale concernant un billet d'avion qu'il n'a pas payé, puisqu'il s'est déplacé dans un jet affrété par ses sponsors. Surprise, l'Unicef refuse : «Il a voyagé en jet privé et le Fonds n'a pas à payer pour un billet qu'il n'a pas pris.»
Quand Beckham veut aller dans l'espace
Le rêve de Beckham est de voyager dans l'espace. La société Doyen Global monte donc un plan de financement pour cette lubie qui coûte 35 millions de dollars. Un sponsor principal, plusieurs secondaires et des diffuseurs payeraient pour ça. De même que des donateurs privés peu recommandables pour quelqu'un qui est sensé représenter l'Unicef : les dictateurs Ali Bongo (Gabon), Ilham Aliyev (Azerbaïdjan) et Noursoultan Nazarbaiev (Kazakhstan) sont approchés. Sans succès pour le moment.
Quand Beckham enrage de ne pas être anobli
Depuis 2013, David Beckham fait tout pour être anobli. Fin 2013, Doyen Global profite d'une émission sur ITV pour que le présentateur s'enthousiasme sur l'obtention possible du titre de « Sir ». Six mois plus tard, il drague le pouvoir politique en enregistrant un message contre l'indépendance écossaise. Malheureusement pour lui, l'establishment est inflexible. C'est surtout le Fisc qui empêche son anoblissement en s'insurgeant contre les montages financiers «artificiels» dont il est l'auteur pour échapper à l'impôt. Depuis juillet 2014, il passe par la société Ingenious Media, qui investit dans des films comme Avatar ou Die Hard 4, pour en payer moins. Selon Mediapart, les Beckham ont refusé l'accord financier proposé pour purger ce conflit.