Jose Mujica de l’Uruguay est présenté comme le «président le plus pauvre du monde». Le site d’information Slate.fr qui le présente ainsi à travers son reportage, rapporte, qu’ « en France comme dans la plupart des pays, le train de vie et le salaire du Président fait l’objet d’interminables débats, une partie des citoyens estimant que les avantages matériels de celui qui est à la tête de l’Etat le rendent complètement déconnecté de leur vie quotidienne ».
Une réalité bien sénégalaise où depuis mars 2012, le débat a beaucoup tourné autour de l’argent, la caisse noire du président, les avantages des députés, l’argent « sale » qui ne circule plus… Chez-nous, le discours est très loin de la réalité. On peut bien parler de rupture mais on ne fait rien pour diminuer la réjouissance.
« Jose Mujica a refusé la luxueuse résidence habituellement réservée aux présidents uruguayens et a choisi de rester sur la ferme de sa femme, au bout d’un chemin de terre près de la capitale Montevideo. Il tire son surnom du fait qu’il reverse 90% de son salaire mensuel de 9.300 euros à des œuvres caritatives en faveur des pauvres ou des petits entrepreneurs. Le salaire qu’il lui reste correspond à peu près au revenu moyen d’environ 600 euros (…) ».
Aujourd’hui seulement, le nouveau directeur général de la société d’aménagement et de promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal (Sapco) a dénoncé la dilapidation des réserves foncières sur les plages de la Petite Côte par des autorités en quête de belle vie. On ne peut pas développer un pays sans un certain esprit de dépassement, d’oubli de soi-même, de sacrifice mais si tout se résume aux plaisirs du ventre et du bas-ventre, c’est toujours beaucoup de bruit et rien de plus.
C’est un état d’esprit qui apparait dans ces propos de Jose Mujica, «on m’appelle le président le plus pauvre, mais je ne me sens pas pauvre. Les pauvres sont ceux qui travaillent uniquement pour avoir un style de vie dépensier, et qui en veulent toujours plus. C’est une question de liberté. Si vous n’avez pas beaucoup de possessions, vous n’avez pas besoin de travailler comme un esclave toute votre vie pour les soutenir, et vous avez plus de temps pour vous-même».
Une réalité bien sénégalaise où depuis mars 2012, le débat a beaucoup tourné autour de l’argent, la caisse noire du président, les avantages des députés, l’argent « sale » qui ne circule plus… Chez-nous, le discours est très loin de la réalité. On peut bien parler de rupture mais on ne fait rien pour diminuer la réjouissance.
« Jose Mujica a refusé la luxueuse résidence habituellement réservée aux présidents uruguayens et a choisi de rester sur la ferme de sa femme, au bout d’un chemin de terre près de la capitale Montevideo. Il tire son surnom du fait qu’il reverse 90% de son salaire mensuel de 9.300 euros à des œuvres caritatives en faveur des pauvres ou des petits entrepreneurs. Le salaire qu’il lui reste correspond à peu près au revenu moyen d’environ 600 euros (…) ».
Aujourd’hui seulement, le nouveau directeur général de la société d’aménagement et de promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal (Sapco) a dénoncé la dilapidation des réserves foncières sur les plages de la Petite Côte par des autorités en quête de belle vie. On ne peut pas développer un pays sans un certain esprit de dépassement, d’oubli de soi-même, de sacrifice mais si tout se résume aux plaisirs du ventre et du bas-ventre, c’est toujours beaucoup de bruit et rien de plus.
C’est un état d’esprit qui apparait dans ces propos de Jose Mujica, «on m’appelle le président le plus pauvre, mais je ne me sens pas pauvre. Les pauvres sont ceux qui travaillent uniquement pour avoir un style de vie dépensier, et qui en veulent toujours plus. C’est une question de liberté. Si vous n’avez pas beaucoup de possessions, vous n’avez pas besoin de travailler comme un esclave toute votre vie pour les soutenir, et vous avez plus de temps pour vous-même».
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