Le Collège Exécutif National (CEN) de la Convergence des Cadres Républicains (CCR) s’est réuni le 09 avril 2015 à la permanence de BBY (Benno Bokk Yaakaar), en marge d’une rencontre avec des plénipotentiaires de la Coordination des Cadres de And Jëf PADS Authentique. Appréciant la situation politique nationale, le CEN invite les militants et sympathisants de l’APR, à mobiliser leur esprit créatif et leur intelligence critique pour accompagner le Président de la République et son Gouvernement dans leurs efforts quotidiens, en vue de satisfaire la demande sociale et de poser les bases de l’émergence.
Dès lors, le CEN estime qu’il est inopportun d’engager déjà le pays dans une longue précampagne électorale qui serait néfaste pour l’économie et le climat social. Aussi le CEN se réserve le moment de la campagne pour le référendum, prévue en 2016, afin de développer ses arguments en faveur de la réduction du mandat de sept (7) à cinq (5) ans, conformément aux engagements maintes fois proclamés par le Président de la République. A ce propos, le CEN dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com rappelle que, dans une société de tradition orale comme la nôtre, la parole donnée demeure une parole d’honneur qui a une valeur sacrée.
Donc rien, ni personne, ne pourrait justifier la remise en cause d’un tel serment. Par conséquent, le CEN en appelle certains à plus de retenue pour ne pas susciter autour du Président de la République, un climat de suspicion et de doute qui pourrait annihiler les efforts salutaires qu’il a consentis depuis son accession à la Magistrature suprême en vue de redonner crédibilité et lustre à l’engagement politique.
Dès lors, le CEN estime qu’il est inopportun d’engager déjà le pays dans une longue précampagne électorale qui serait néfaste pour l’économie et le climat social. Aussi le CEN se réserve le moment de la campagne pour le référendum, prévue en 2016, afin de développer ses arguments en faveur de la réduction du mandat de sept (7) à cinq (5) ans, conformément aux engagements maintes fois proclamés par le Président de la République. A ce propos, le CEN dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com rappelle que, dans une société de tradition orale comme la nôtre, la parole donnée demeure une parole d’honneur qui a une valeur sacrée.
Donc rien, ni personne, ne pourrait justifier la remise en cause d’un tel serment. Par conséquent, le CEN en appelle certains à plus de retenue pour ne pas susciter autour du Président de la République, un climat de suspicion et de doute qui pourrait annihiler les efforts salutaires qu’il a consentis depuis son accession à la Magistrature suprême en vue de redonner crédibilité et lustre à l’engagement politique.