Le débat autour du monument de la renaissance installé par les associations religieuses, les imams et une bonne frange de la population continue de prendre de l’ampleur. Abdoulaye Wade semble se plaire dans ce débat. Après le conseil des ministres, il en a encore fait cas lors de la conférence nationale des enseignants libéraux qui s’est tenu ce lundi 28 décembre au Cices.
Le chef de l’Etat a, en effet, décidé de se lancer dans une campagne de sensibilisation pour mieux faire accepter «son» monument de la renaissance. Il a indiqué aux enseignants, militants et responsables du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) qui ont pris part à la rencontre que «son discours du 31 décembre sera axé sur le monument de la renaissance et ses origines».
Le président de la République a, ainsi, tenté de faire la genèse de cette statue. «Ce monument ne m’appartient pas et n’appartient ni aux sénégalais mais à toute l’Afrique. Il est pour la renaissance africaine, ce n’est pas pour la renaissance du Sénégal», a-t-il souligné. Avant de préciser que l’idée n’émane pas de lui mais de ces pairs africains. Selon lui, le monument a été développé par Thabo Mbecki. «Il fallait immortaliser le renouveau de l’Afrique lorsqu’il a été question de monument on ne savait pas quoi, on ne savait pas où. Mais, j’avais une avance sur eux car je l’avais écrit dans mon livre quelques jours avant et c’est à partir de ce moment que j’ai pensé à ce monument et lorsque la maquette a été faite, ils (chef d’Etats africains) sont venus ici ils ont posé la première pierre et c’est Obansandjo qui a posé la première pierre en présence de Thabo Mbecki, Daniel Arap Moï», a rappelé le secrétaire général national du PDS. Ainsi, a-t-il étayé, «c’est un monument africain et non un monument sénégalais».
Le chef de l’Etat a, en effet, décidé de se lancer dans une campagne de sensibilisation pour mieux faire accepter «son» monument de la renaissance. Il a indiqué aux enseignants, militants et responsables du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) qui ont pris part à la rencontre que «son discours du 31 décembre sera axé sur le monument de la renaissance et ses origines».
Le président de la République a, ainsi, tenté de faire la genèse de cette statue. «Ce monument ne m’appartient pas et n’appartient ni aux sénégalais mais à toute l’Afrique. Il est pour la renaissance africaine, ce n’est pas pour la renaissance du Sénégal», a-t-il souligné. Avant de préciser que l’idée n’émane pas de lui mais de ces pairs africains. Selon lui, le monument a été développé par Thabo Mbecki. «Il fallait immortaliser le renouveau de l’Afrique lorsqu’il a été question de monument on ne savait pas quoi, on ne savait pas où. Mais, j’avais une avance sur eux car je l’avais écrit dans mon livre quelques jours avant et c’est à partir de ce moment que j’ai pensé à ce monument et lorsque la maquette a été faite, ils (chef d’Etats africains) sont venus ici ils ont posé la première pierre et c’est Obansandjo qui a posé la première pierre en présence de Thabo Mbecki, Daniel Arap Moï», a rappelé le secrétaire général national du PDS. Ainsi, a-t-il étayé, «c’est un monument africain et non un monument sénégalais».