Khalifa Sall, invite les acteurs politiques autour d’une table pour discuter sur comment mettre en pratique la décision du Conseil constitutionnel.
« Aujourd’hui que la décision est prise, nous sommes prêts, nous sommes disposés à parler avec tous les acteurs, les candidats, la société civile, les candidats recalés, parce que c’est un problème national et nous sommes tous concernés. On se mettra tous ensemble pour discuter de comment mettre en œuvre cette décision du conseil. Ma position est que nous devons en parler et c’est ce que le Conseil constitutionnel nous a suggéré. Il nous a demandé que les acteurs se réunissent pour dans les meilleurs délais que l’élection puisse se tenir. Les acteurs, c’est ceux qui organisent, c’est d’abord l’Etat, le président de la république, le gouvernement, la Cena, la justice, ensuite les hommes politiques, les candidats et tout le monde. Donc c’est une question qui interpelle chacun de nous. Comment on va le faire ? C’est ça la question. Mais nous savons que nous devons en discuter en parler sinon on ne trouvera pas de solution consensuelle et on ne sera pas à l’abris de situation compliquée. Donc c’est une chose dont il faut parler, il faut qu’on se parle », a-t-il suggéré.
Le leader de Taxawu a fait savoir que son parti n’a jamais arrêté ses activités liées à la campagne pour la présidentielle parce que pour eux, la décision de Macky Sall de reporter l’élection et la loi votée à l’Assemblée étaient illégales et donc insusceptible d’être respecté. « Nous, nous n’avons jamais arrêté de faire campagne parce que pour nous, la décision du président et de l'Assemblée nationale étaient invalide, car ils ont violé les lois. Parce que ces décisions étaient illégales et insusceptible d’être respecté. Nous sommes toujours sur le terrain. Donc de manière concomitante, ont continu nos activités cette après-midi, nous sommes à la Gueule Tapée et nous serons à la manifestation du F24 aux Parcelles assainies. »
S’estimant comme le seul candidat du PS, Khalifa Sall tend la main à ses camarades du Ps, « J’invite tous les partenaires, tous les acteurs à se mettre ensemble. Mes camarades socialistes, mes camarades de la gauche, je les parlais depuis lors. Qu’ils viennent, je suis l’unique candidat du Parti socialiste à cette élection présidentielle. Je continue à les inviter à se joindre à nous pour véritablement avec tous les progressistes de ce pays que les ruptures nécessaires soient conduites pour que nous puissions mettre ce pays au travail dans l’unité, la paix et la cohésion. »
« Le Conseil constitutionnel a dit deux choses. La première est que le processus électoral doit se poursuivre dans les meilleurs délais en tenant compte des desiderata nés du vote de cette loi et de la signature de ce décret. Il y a un problème de délais qui se pose parce qu’on est au 16 février la campagne devait démarrer le 4 donc on a perdu 12 jours de campagne. Le conseil a dit, deuxième chose : le mandat du président s’arrête le 2 avril, c’est-à-dire le 2 avril, le président de la République ne sera plus Macky Sall et nous devons tenir l’élection présidentielle », a précisé le candidat à la présidentielle.
Concernant la vague de libération des détenus dit politique notée hier jeudi, Khalifa Sall estime qu’il y’ a anguille sous roche « Il y a une vague de libération, moi qui connais l’Etat, moi qui ai vécu dans l’Etat, je sais qu’il n’y a pas de fumée sans feu », a jugé le leader de Taxawu.
« Aujourd’hui que la décision est prise, nous sommes prêts, nous sommes disposés à parler avec tous les acteurs, les candidats, la société civile, les candidats recalés, parce que c’est un problème national et nous sommes tous concernés. On se mettra tous ensemble pour discuter de comment mettre en œuvre cette décision du conseil. Ma position est que nous devons en parler et c’est ce que le Conseil constitutionnel nous a suggéré. Il nous a demandé que les acteurs se réunissent pour dans les meilleurs délais que l’élection puisse se tenir. Les acteurs, c’est ceux qui organisent, c’est d’abord l’Etat, le président de la république, le gouvernement, la Cena, la justice, ensuite les hommes politiques, les candidats et tout le monde. Donc c’est une question qui interpelle chacun de nous. Comment on va le faire ? C’est ça la question. Mais nous savons que nous devons en discuter en parler sinon on ne trouvera pas de solution consensuelle et on ne sera pas à l’abris de situation compliquée. Donc c’est une chose dont il faut parler, il faut qu’on se parle », a-t-il suggéré.
Le leader de Taxawu a fait savoir que son parti n’a jamais arrêté ses activités liées à la campagne pour la présidentielle parce que pour eux, la décision de Macky Sall de reporter l’élection et la loi votée à l’Assemblée étaient illégales et donc insusceptible d’être respecté. « Nous, nous n’avons jamais arrêté de faire campagne parce que pour nous, la décision du président et de l'Assemblée nationale étaient invalide, car ils ont violé les lois. Parce que ces décisions étaient illégales et insusceptible d’être respecté. Nous sommes toujours sur le terrain. Donc de manière concomitante, ont continu nos activités cette après-midi, nous sommes à la Gueule Tapée et nous serons à la manifestation du F24 aux Parcelles assainies. »
S’estimant comme le seul candidat du PS, Khalifa Sall tend la main à ses camarades du Ps, « J’invite tous les partenaires, tous les acteurs à se mettre ensemble. Mes camarades socialistes, mes camarades de la gauche, je les parlais depuis lors. Qu’ils viennent, je suis l’unique candidat du Parti socialiste à cette élection présidentielle. Je continue à les inviter à se joindre à nous pour véritablement avec tous les progressistes de ce pays que les ruptures nécessaires soient conduites pour que nous puissions mettre ce pays au travail dans l’unité, la paix et la cohésion. »
« Le Conseil constitutionnel a dit deux choses. La première est que le processus électoral doit se poursuivre dans les meilleurs délais en tenant compte des desiderata nés du vote de cette loi et de la signature de ce décret. Il y a un problème de délais qui se pose parce qu’on est au 16 février la campagne devait démarrer le 4 donc on a perdu 12 jours de campagne. Le conseil a dit, deuxième chose : le mandat du président s’arrête le 2 avril, c’est-à-dire le 2 avril, le président de la République ne sera plus Macky Sall et nous devons tenir l’élection présidentielle », a précisé le candidat à la présidentielle.
Concernant la vague de libération des détenus dit politique notée hier jeudi, Khalifa Sall estime qu’il y’ a anguille sous roche « Il y a une vague de libération, moi qui connais l’Etat, moi qui ai vécu dans l’Etat, je sais qu’il n’y a pas de fumée sans feu », a jugé le leader de Taxawu.
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