
Depuis le délibéré du Conseil constitutionnel sur le recours des députés de l’opposition concernant la loi interprétative proposée par Amadou de Pastef, les partis politiques se disputent la victoire. Invité ce dimanche 27 avril 2025 dans l’émission Face au Jury sur Pressafrik TV HD, Moundiaye Cissé, acteur de la société civile et directeur de l’ONG 3D, a livré son point de vue sur la question.
Selon le coordonnateur du COSCE,« il n’y a qu’un seul vainqueur dans la décision rendue par le Conseil constitutionnel. Et ce n’est ni le parti au pouvoir ni l’opposition, mais plutôt les victimes. »
Il a précisé, « ces victimes, ce sont celles et ceux qui ont perdu leurs commerces, leurs maisons, leurs voitures, ou encore un proche. Ce sont eux les véritables bénéficiaires de cette décision. Quant aux acteurs politiques, chacun peut jubiler de son côté ou revendiquer la victoire. C’est leur droit. »
Pour Moundiaye Cissé, « ce qui importe, c’est qu’il n’y ait pas d’impunité. Et c’est cela qui nous intéresse, nous, société civile : que tous les coupables, quel que soit leur camp, soient traduits en justice, et que ceux à qui l’on a causé du tort puissent porter plainte. Il n’est donc pas utile de sombrer dans le triomphalisme ou la fanfaronnade. L’essentiel est que les coupables qu’ils aient commis des meurtres, des actes de torture, ou des assassinats répondent de leurs actes. »
Selon le coordonnateur du COSCE,« il n’y a qu’un seul vainqueur dans la décision rendue par le Conseil constitutionnel. Et ce n’est ni le parti au pouvoir ni l’opposition, mais plutôt les victimes. »
Il a précisé, « ces victimes, ce sont celles et ceux qui ont perdu leurs commerces, leurs maisons, leurs voitures, ou encore un proche. Ce sont eux les véritables bénéficiaires de cette décision. Quant aux acteurs politiques, chacun peut jubiler de son côté ou revendiquer la victoire. C’est leur droit. »
Pour Moundiaye Cissé, « ce qui importe, c’est qu’il n’y ait pas d’impunité. Et c’est cela qui nous intéresse, nous, société civile : que tous les coupables, quel que soit leur camp, soient traduits en justice, et que ceux à qui l’on a causé du tort puissent porter plainte. Il n’est donc pas utile de sombrer dans le triomphalisme ou la fanfaronnade. L’essentiel est que les coupables qu’ils aient commis des meurtres, des actes de torture, ou des assassinats répondent de leurs actes. »
Autres articles
-
Nouveau pacte de stabilité sociale : le Premier ministre a engagé le Gouvernement à s’investir pleinement
-
Loi de Finances rectificative: Sonko souligne l’exigence d’une déclinaison budgétaire
-
Sénégal : Communiqué du Conseil des ministres du mercredi 30 avril 2025
-
Réforme de l’Office du Baccalauréat, achèvement des chantiers universitaires, gestion des examens et concours : les directives du Pr Diomaye
-
Fête du Travail : le président de la République recevra les responsables des centrales syndicales dans l’après-midi du jeudi 1er mai 2025