La réaction du syndicat des professionnel de l'information et de la communication du Sénégal (synpics) ne s’est pas fait attendre suite à la déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko. Ce dimanche lors d’une conférence publique à Dakar le PM a tenu des propos jugés menaçants et inconvenants à l’endroit de la presse sénégalaise. Et le climat n’augure rien de bon entre l’actuel régime et la presse si l’on se fie aux propos de Sonko.
Réagissant à cette déclaration, Maguette Ndong chargé de communication du syndicat des journalistes les appelle à la sérénité. "Nous avons suivi comme tous les Sénégalais la conférence publique de Ousmane Sonko au Grand théâtre. Mais ce qui nous a le plus surpris c'est qu'il semble pointer du doigt la presse sénégalaise, en tout cas les journalistes de manière générale. Il profère, malheureusement, des menaces à l'encontre des journalistes", s'est prononcé le journaliste du quotidien Le Soleil. Pour qui cette déclaration pourrait être éviter dans la mesure où , enchaine-t-il, " nous acteurs de la presse nous avons toujours rappelé aux journalistes de faire leur travail tout en respectant les principes de ce métier".
Evoquant toujours les injonctions de Sonko à l'endroit de la presse, il confie, "il n'appartient pas à monsieur Sonko de menacer des journalistes qui font leur travail". Cependant, reconnait le chargé de communication du Synpics, " dans toute corporation, il y a des brebis galeuses. Il y 'en a dans la presse. Mais pour autant cela ne peut expliquer des menaces pointées sur les journalistes". Et monsieur Ndong de faire un rappel, "nous rappelons tout simplement à monsieur Sonko que les responsables de Pastef étaient avec nous quand ils étaient dans l'opposition. Quand on faisait des manifestations ou des sit-in pour défendre la liberté de la presse".
Maguette Ndong dit regretter les menaces du PM contre les journalistes. Et de s'interroger sur ce qui s'est passé entre temps pour qu'un tel comportement soit adopté par Ousmane Sonko. Il faut dire qu'Ousmane Sonko, lors de sa conférence publique a lancé entre autres piques à la presse la phrase suivante : "il y a des moins que rien qui assument leur vol et veulent que personne ne parle et qu’on leur pardonne tout. Ça doit cesser !" Une manière pour le PM de dénoncer dit-il, " une culture de l'impunité dans la presse".
Réagissant à cette déclaration, Maguette Ndong chargé de communication du syndicat des journalistes les appelle à la sérénité. "Nous avons suivi comme tous les Sénégalais la conférence publique de Ousmane Sonko au Grand théâtre. Mais ce qui nous a le plus surpris c'est qu'il semble pointer du doigt la presse sénégalaise, en tout cas les journalistes de manière générale. Il profère, malheureusement, des menaces à l'encontre des journalistes", s'est prononcé le journaliste du quotidien Le Soleil. Pour qui cette déclaration pourrait être éviter dans la mesure où , enchaine-t-il, " nous acteurs de la presse nous avons toujours rappelé aux journalistes de faire leur travail tout en respectant les principes de ce métier".
Evoquant toujours les injonctions de Sonko à l'endroit de la presse, il confie, "il n'appartient pas à monsieur Sonko de menacer des journalistes qui font leur travail". Cependant, reconnait le chargé de communication du Synpics, " dans toute corporation, il y a des brebis galeuses. Il y 'en a dans la presse. Mais pour autant cela ne peut expliquer des menaces pointées sur les journalistes". Et monsieur Ndong de faire un rappel, "nous rappelons tout simplement à monsieur Sonko que les responsables de Pastef étaient avec nous quand ils étaient dans l'opposition. Quand on faisait des manifestations ou des sit-in pour défendre la liberté de la presse".
Maguette Ndong dit regretter les menaces du PM contre les journalistes. Et de s'interroger sur ce qui s'est passé entre temps pour qu'un tel comportement soit adopté par Ousmane Sonko. Il faut dire qu'Ousmane Sonko, lors de sa conférence publique a lancé entre autres piques à la presse la phrase suivante : "il y a des moins que rien qui assument leur vol et veulent que personne ne parle et qu’on leur pardonne tout. Ça doit cesser !" Une manière pour le PM de dénoncer dit-il, " une culture de l'impunité dans la presse".