A partir de ce moment, la société civile réunie sous la plateforme Aar sunu Election (protégeons nos élections) a investi la rue pour faire respecter le calendrier électoral. Les candidats également devant concourir à la présidentielle ont à leur manière mis la pression sur Macky Sall. Alors la situation était devenue explosive car le feu couvait de partout. Il a fallu qu’Aliou Tine et Pierre Goudiaby Atepa jouent aux sapeurs-pompiers pour éteindre l’incendie. C’est ainsi que l’idée d’une décrispation du climat politique est agitée. En quoi faisant : libérer tous les détenus politiques y compris le leader de l’ex-parti Pastef et Bassirou Diomaye Faye.
Et les conséquences politiques du report de l’élection, confie le professeur du droit constitutionnel à l’UGB, Moussa Diaw est « la libération sans condition des prisonniers ». Comme cela est en train d’être fait, en ce moment. « Les prisonniers politiques ont commencé à être libérés. Alors que le président disait qu’il n’y avait pas de prisonniers politiques. Ils sont soit des sympathisants ou des gens très proches de l’ex-Pastef », a confié professeur Diaw.
Ajoutant que : « c’est une mesure de décrispation entreprise par le président avant même la décision du Conseil constitutionnel. Certainement, ils étaient informés de ce qui allait se passer. C’est pourquoi, ils ont anticipé en libérant des détenus. Mais il reste encore les vrais dirigeants certains pensent qu’ils seront libérés dans les heures qui viennent. De toute façon, c’est une mesure de décrispation de la situation politique très tendue et avec des manifestations pour contester le report de l’élection présidentielle ».
A l’heure, le président est très isolé. Cette décision du Conseil constitutionnel, de l’avis de l’universitaire sonne « comme un aveu ». « Et politiquement ce qu’il pourra faire c’est de se conformer à la décision du Conseil constitutionnel. C’est-à-dire d’organiser l’élection à la date indiquée », a fait savoir le professeur de droit.
Et les conséquences politiques du report de l’élection, confie le professeur du droit constitutionnel à l’UGB, Moussa Diaw est « la libération sans condition des prisonniers ». Comme cela est en train d’être fait, en ce moment. « Les prisonniers politiques ont commencé à être libérés. Alors que le président disait qu’il n’y avait pas de prisonniers politiques. Ils sont soit des sympathisants ou des gens très proches de l’ex-Pastef », a confié professeur Diaw.
Ajoutant que : « c’est une mesure de décrispation entreprise par le président avant même la décision du Conseil constitutionnel. Certainement, ils étaient informés de ce qui allait se passer. C’est pourquoi, ils ont anticipé en libérant des détenus. Mais il reste encore les vrais dirigeants certains pensent qu’ils seront libérés dans les heures qui viennent. De toute façon, c’est une mesure de décrispation de la situation politique très tendue et avec des manifestations pour contester le report de l’élection présidentielle ».
A l’heure, le président est très isolé. Cette décision du Conseil constitutionnel, de l’avis de l’universitaire sonne « comme un aveu ». « Et politiquement ce qu’il pourra faire c’est de se conformer à la décision du Conseil constitutionnel. C’est-à-dire d’organiser l’élection à la date indiquée », a fait savoir le professeur de droit.
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