La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) a exprimé aujourd’hui à travers un communiqué « sa vive inquiétude et sa préoccupation face à la dégradation progressive des conditions de travail des journalistes aggravée par la multiplication des violences militaro-policières contre les journalistes lors de la couverture d’évènements publics au Cameroun, particulièrement durant ce mois de décembre ».
Selon Gabriel Baglo, Directeur du Bureau Afrique de la FIJ «depuis le début de l’année, la situation des journalistes au Cameroun est devenue de plus en plus inquiétante et les actes de violence perpétrés par des membres des forces de sécurité contre les professionnels des médias se répètent et s’aggravent ».
Après avoir fait le tour des derniers actes contre les journalistes,le Syndicat National des Journalistes du Cameroun (SNJC) affilié à la FIJ constate qu’ « à ce jour aucun des auteurs de ces actes attentatoires à la liberté de l’information et de la presse n’a été ni interpellé ni poursuivi (…) ».
« A l’approche des élections de 2011, la liberté d’expression et la liberté de la presse doivent être sauvegardées à tout prix et toute tentative d’intimidation ou de musellement des médias est inacceptable » préviennent les confrères.
Selon Gabriel Baglo, Directeur du Bureau Afrique de la FIJ «depuis le début de l’année, la situation des journalistes au Cameroun est devenue de plus en plus inquiétante et les actes de violence perpétrés par des membres des forces de sécurité contre les professionnels des médias se répètent et s’aggravent ».
Après avoir fait le tour des derniers actes contre les journalistes,le Syndicat National des Journalistes du Cameroun (SNJC) affilié à la FIJ constate qu’ « à ce jour aucun des auteurs de ces actes attentatoires à la liberté de l’information et de la presse n’a été ni interpellé ni poursuivi (…) ».
« A l’approche des élections de 2011, la liberté d’expression et la liberté de la presse doivent être sauvegardées à tout prix et toute tentative d’intimidation ou de musellement des médias est inacceptable » préviennent les confrères.