Le Collectif pour la défense du patrimoine de Dakar est contre la destruction du marché Sandaga. Selon ces membres, l’Etat n’a pas respecté les lois et règlements qui sous-tendent une telle opération.
« Un monument classé, ne peut pas être démoli sans sans le consentement de la Commission Supérieure des Monuments Historiques, sans une autorisation de Démolir. Un momument du patrimoine comme tout bâtiments sur une commune de plus de 5000 habitants, ne peut pas être construit sans autorisation de construction », ont déclaré les membres dudit Collectif lors de leur rencontre avec la presse ce mercredi 05 août 2020..
Le Collectif exige des éclairages sur la destruction programmée du marché Sandaga. Il veut savoir si le projet a été saisi par la commission Supérieure historique. Demande pourquoi les rapports qui soutiennent cette thèse ne sont pas rendus publics. Et si des sondages ont été faits pour connaître l'avis des populations entre autres.
Selon l'architecte Mamadou Berthe, membre du Collectif, « le problème de Sandaga est un problème global de commerce, de réhabilitation, un problème de réorganisation du centre-ville qui s'opposent ».
« Même l'air que nous respirons et la mer sont menacés. Ce que le collectif veut, c'est attirer l'attention des autorités sur ce choix qui n'était pas définitif d'après ce que nous en savons et c'est pourquoi nous ouvrons un débat démocratique autour des enjeux de la réhabilitation. La réhabilitation de Sandaga s'impose en tant que momument phare, emblématique de Dakar. Une carte postale indéniable de la ville de Dakar et du Sénégal. Vous allez partout, cette image faut la valoriser pour qu'elle rapporte qu'elle chose à la ville en termes de retombées économique et sociale. Pour ce faire, il faut aussi que le bâtiment subjiste. Ce que nous attendons de Sandagua est qu'il faut le réparer et le rénover même si il a Suivi le poids des âges », a ajouté l’architecte.
Les membres du Collectif réclame un tête-à-tête avec les autorités sénégalaises sur le devenir du patrimoine dakarois et sur l'image de la ville.
D'autres problèmes ont été soulevés par le Collectif. À savoir l'immeuble Brière de l'Isle, le Building Administratif, le stade Assane Diouf, ainsi que de nombreux immeubles au centre-ville qui risquent de disparaître.
« Un monument classé, ne peut pas être démoli sans sans le consentement de la Commission Supérieure des Monuments Historiques, sans une autorisation de Démolir. Un momument du patrimoine comme tout bâtiments sur une commune de plus de 5000 habitants, ne peut pas être construit sans autorisation de construction », ont déclaré les membres dudit Collectif lors de leur rencontre avec la presse ce mercredi 05 août 2020..
Le Collectif exige des éclairages sur la destruction programmée du marché Sandaga. Il veut savoir si le projet a été saisi par la commission Supérieure historique. Demande pourquoi les rapports qui soutiennent cette thèse ne sont pas rendus publics. Et si des sondages ont été faits pour connaître l'avis des populations entre autres.
Selon l'architecte Mamadou Berthe, membre du Collectif, « le problème de Sandaga est un problème global de commerce, de réhabilitation, un problème de réorganisation du centre-ville qui s'opposent ».
« Même l'air que nous respirons et la mer sont menacés. Ce que le collectif veut, c'est attirer l'attention des autorités sur ce choix qui n'était pas définitif d'après ce que nous en savons et c'est pourquoi nous ouvrons un débat démocratique autour des enjeux de la réhabilitation. La réhabilitation de Sandaga s'impose en tant que momument phare, emblématique de Dakar. Une carte postale indéniable de la ville de Dakar et du Sénégal. Vous allez partout, cette image faut la valoriser pour qu'elle rapporte qu'elle chose à la ville en termes de retombées économique et sociale. Pour ce faire, il faut aussi que le bâtiment subjiste. Ce que nous attendons de Sandagua est qu'il faut le réparer et le rénover même si il a Suivi le poids des âges », a ajouté l’architecte.
Les membres du Collectif réclame un tête-à-tête avec les autorités sénégalaises sur le devenir du patrimoine dakarois et sur l'image de la ville.
D'autres problèmes ont été soulevés par le Collectif. À savoir l'immeuble Brière de l'Isle, le Building Administratif, le stade Assane Diouf, ainsi que de nombreux immeubles au centre-ville qui risquent de disparaître.