Les discours, les tactiques, les jeux de cache cache ne varient pas. Tout se succède depuis un bon bout de temps : une élection repoussée, des opposants emprisonnés, d’autres recalés, un dialogue national pour fixer une date et maintenant une loi d’amnistie.
Toujours est-il, le but final est d’élire un président de la République. Et celui dont le mandat arrive à terme le 02 avril prochain, apparemment veut avoir un œil sur le choix de son successeur.
C’est dans ce cadre qu’il faut ranger la sortie de Me Sidiki Kaba, ministre de l’intérieur. Hier, lors d’une conférence de presse, me Kaba s’est un peu plus rapproché de l’un des schémas établi, probablement par le camp du pouvoir. En substance déclarait Sidiki Kaba, devant un parterre de journalistes, « le Conseil constitutionnel ne tranche que de deux façons : il peut appliquer les textes de l’article 36 qui stipule que le président de la République devra rester au pouvoir pendant deux mois avant de remettre les pouvoirs à son successeur démocratiquement élu par les Sénégalais ou il peut dire qu’il s’agit de « vacances de pouvoir » et dans ce cas, c’est le président de l’Assemblée nationale qui devient automatiquement président de la République ». Cette phrase est révélatrice de bien des choses puisque ne provenant pas de n’importe quel responsable du pouvoir.
Par ailleurs, l'on n'est pas au bout des surprises. L'avocat franco-sénégalais, Albert Bourgi, un homme dan les secrets de Dieu du Prince a fait une sorti encore beaucoup plus révélatrice. Et si l'on suit la logique de l'avocat, les jours à venir nous réservent de grandes surprises. « Je n’ai pas le don de voyance, mais je puis vous dire que la démarche du Président va être la suivante : il reçoit le lundi 4 mars le rapport. Il va faire une lettre et transmettre ce rapport au Conseil constitutionnel, en lui demandant de porter le jugement qu’il veut bien porter à ce rapport. a révélé me Bourgi ».
Toujours est-il, le but final est d’élire un président de la République. Et celui dont le mandat arrive à terme le 02 avril prochain, apparemment veut avoir un œil sur le choix de son successeur.
C’est dans ce cadre qu’il faut ranger la sortie de Me Sidiki Kaba, ministre de l’intérieur. Hier, lors d’une conférence de presse, me Kaba s’est un peu plus rapproché de l’un des schémas établi, probablement par le camp du pouvoir. En substance déclarait Sidiki Kaba, devant un parterre de journalistes, « le Conseil constitutionnel ne tranche que de deux façons : il peut appliquer les textes de l’article 36 qui stipule que le président de la République devra rester au pouvoir pendant deux mois avant de remettre les pouvoirs à son successeur démocratiquement élu par les Sénégalais ou il peut dire qu’il s’agit de « vacances de pouvoir » et dans ce cas, c’est le président de l’Assemblée nationale qui devient automatiquement président de la République ». Cette phrase est révélatrice de bien des choses puisque ne provenant pas de n’importe quel responsable du pouvoir.
Par ailleurs, l'on n'est pas au bout des surprises. L'avocat franco-sénégalais, Albert Bourgi, un homme dan les secrets de Dieu du Prince a fait une sorti encore beaucoup plus révélatrice. Et si l'on suit la logique de l'avocat, les jours à venir nous réservent de grandes surprises. « Je n’ai pas le don de voyance, mais je puis vous dire que la démarche du Président va être la suivante : il reçoit le lundi 4 mars le rapport. Il va faire une lettre et transmettre ce rapport au Conseil constitutionnel, en lui demandant de porter le jugement qu’il veut bien porter à ce rapport. a révélé me Bourgi ».
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