Un nouveau Front de résistance pour faire face aux "dérives" du président Macky Sall est mise en place. Dénommée FIPPU, ladite plateforme est composée de partis politiques et d’organisations de la société civile notamment le F24, le FC25, le FDD, Aar Sunu Élection, des candidats dits ''spoliés'' et des universitaires.
Regroupés autour du FIPPU les membre de ce nouveau front estiment que le président de la République Macky Sall a rompu avec la tradition républicaine de près 60 ans orchestrant ainsi un affront sans précédent à notre démocratie », tout en « privant les Sénégalais de leur droit constitutionnel à élire leur prochain président le dimanche 25 février ».
Selon Mame Thiaba Camara Sy, parlant au nom du Front pour la résistance « Macky Sall en annulant délibérément l'élection présidentielle, a non seulement violé notre Constitution, mais aussi défié ouvertement l'autorité du Conseil constitutionnel ».
Le front dénonce le fait que le chef de l'Etat refuse d'appliquer « la décision irrévocable du 15 février 2024 d'organiser dans les meilleurs délais le scrutin, avant la fin de son mandat prévu le 2 avril 2024 ». Un fait qui met en lumière « une intention claire de déstabiliser et de manipuler le processus électoral à son avantage ».
Le Front pour la résistance, qui considère le dialogue comme un « simulacre », rentre toujours dans le cadre d'une « violation de la Constitution ». Une violation qui a mené à « un vide juridique dangereux et une gouvernance illégitime ».
Prenant la parole, le professeur Babacar Guèye a indiqué que dorénavant, c'est au Conseil Constitutionnel de sortir le pays de cette impasse. A cet effet, « une déclaration sera adressée aux sages » afin de les soutenir et de leur « demander de ne pas avoir peur », a fait savoir le membre fondateur de plateforme Aar Sunu Élection.
Regroupés autour du FIPPU les membre de ce nouveau front estiment que le président de la République Macky Sall a rompu avec la tradition républicaine de près 60 ans orchestrant ainsi un affront sans précédent à notre démocratie », tout en « privant les Sénégalais de leur droit constitutionnel à élire leur prochain président le dimanche 25 février ».
Selon Mame Thiaba Camara Sy, parlant au nom du Front pour la résistance « Macky Sall en annulant délibérément l'élection présidentielle, a non seulement violé notre Constitution, mais aussi défié ouvertement l'autorité du Conseil constitutionnel ».
Le front dénonce le fait que le chef de l'Etat refuse d'appliquer « la décision irrévocable du 15 février 2024 d'organiser dans les meilleurs délais le scrutin, avant la fin de son mandat prévu le 2 avril 2024 ». Un fait qui met en lumière « une intention claire de déstabiliser et de manipuler le processus électoral à son avantage ».
Le Front pour la résistance, qui considère le dialogue comme un « simulacre », rentre toujours dans le cadre d'une « violation de la Constitution ». Une violation qui a mené à « un vide juridique dangereux et une gouvernance illégitime ».
Prenant la parole, le professeur Babacar Guèye a indiqué que dorénavant, c'est au Conseil Constitutionnel de sortir le pays de cette impasse. A cet effet, « une déclaration sera adressée aux sages » afin de les soutenir et de leur « demander de ne pas avoir peur », a fait savoir le membre fondateur de plateforme Aar Sunu Élection.
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