Le départ prochain des bases françaises installées au Sénégal suscite beaucoup d'inquiétudes auprès des Sénégalais employés dans ces bases et d'autres qui en tirent profit à travers le secteur informel.Comme promis la semaine dernière par le ministre des Forces armées, Abdoulaye Baldé, le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye a reçu hier les travailleurs des Forces armées du Cap Vert. Ce dernier a tenu à rassurer les travailleurs sur leur avenir.
Au sortir de la rencontre, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui était au micro de nos confrères de la radio télévision sénégalaise (RTS) a annoncé que:" dans le contenu des accords entre les employeurs (Forces armées du Cap Vert) et le Gouvernement du Sénégal la question sociale sera bien prise en compte ". Mieux, il a révélé que rien n'est encore paraphé sur sur le départ. "Pour le moment, rien n'a été signé, nous attendons les contre-propositions de la France".
A noter qu’avec ce départ des Forces armées françaises du Cap Vert des bases de Dakar, plus de trois mille (3.000) emplois sont menacés. Depuis cette annonce les travailleurs soutenus par des syndicalistes et leurs familles mènent le combat pour ne pas être les agneaux du sacrifice .
Au sortir de la rencontre, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui était au micro de nos confrères de la radio télévision sénégalaise (RTS) a annoncé que:" dans le contenu des accords entre les employeurs (Forces armées du Cap Vert) et le Gouvernement du Sénégal la question sociale sera bien prise en compte ". Mieux, il a révélé que rien n'est encore paraphé sur sur le départ. "Pour le moment, rien n'a été signé, nous attendons les contre-propositions de la France".
A noter qu’avec ce départ des Forces armées françaises du Cap Vert des bases de Dakar, plus de trois mille (3.000) emplois sont menacés. Depuis cette annonce les travailleurs soutenus par des syndicalistes et leurs familles mènent le combat pour ne pas être les agneaux du sacrifice .