Des acteurs de la société civile, à savoir l’Urgences Panafricanistes Sénégal, JIF Afrik, Sénégal Notre Priorité, Africa First, Alliance Africaine pour la Résilience et la Transparence, entre autres ont exposé leurs préoccupations aux nouvelles autorités à travers un mémorandum adressé au Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Ce, pour lui demander le retrait de toute base militaire française et de toute force d’occupation militaire étrangère du Sénégal. Ils ont également rappelé au chef de l’Etat, qu’il a été élu notamment pour des questions de rupture.
« Nous sommes venues avec différentes organisations de la société civile pour déposer un mémorandum adressé au président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour lui demander le retrait de toute base militaires françaises et de toute force d’occupation militaire étrangères du Sénégal », a déclaré Khadim Mbacké Sall, coordinateur de l’Ong Urgences Panafricanistes au Sénégal, par ailleurs porte-parole du jour.
Il précise par ailleurs, que ce dépôt coïncide avec la semaine des 100 jours de gouvernance du régime du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. « Nous avons estimé que le lendemain de son élection qu’il était important que nous puissions lui laisser 3 mois afin qu'il puisse prendre le temps de gérer toutes ses questions. Là, à l’issue de 100 jours, nous considérons que le Président Bassirou Diomaye Faye doit prendre des décisions fermes dans ce sens », a-t-il dit
M. Sall d’ajouter : « Il faut rappeler au chef de l’Etat qu’il a été élu notamment pour des questions de rupture surtout contre le néocolonialisme occidental et l’impérialisme occidental sur toutes ses formes ».
Poursuivant sa déclaration, il précise « qu’aujourd’hui, l’une des formes les plus manifestes de ce néocolonialisme occidental, c’est la présence des bases militaires française sur nos territoires ».
« Il n’y a aucune raison qui puisse justifier leur présence. Pourquoi sont-elles là ? Pour quelle raison ? Pour quel intérêt ? En-tout-cas ce ne sont pas des intérêts africains. Vous ne verrez pas de base militaire sénégalaise ou africaine en France. Donc il ne doit pas y avoir de bases militaires dans nos territoires », s’interroge-t-il.
Pour toutes ses questions, dit-il, « nous avons estimé qu’il était important de déposer ce mémorandum en guise de contribution, mais également pour lui rappeler cette raison de rupture pour laquelle il a été élu. Nous demandons au Président (Diomaye) de prendre ses responsabilités dans ce sens ».
« Nous sommes venues avec différentes organisations de la société civile pour déposer un mémorandum adressé au président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour lui demander le retrait de toute base militaires françaises et de toute force d’occupation militaire étrangères du Sénégal », a déclaré Khadim Mbacké Sall, coordinateur de l’Ong Urgences Panafricanistes au Sénégal, par ailleurs porte-parole du jour.
Il précise par ailleurs, que ce dépôt coïncide avec la semaine des 100 jours de gouvernance du régime du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. « Nous avons estimé que le lendemain de son élection qu’il était important que nous puissions lui laisser 3 mois afin qu'il puisse prendre le temps de gérer toutes ses questions. Là, à l’issue de 100 jours, nous considérons que le Président Bassirou Diomaye Faye doit prendre des décisions fermes dans ce sens », a-t-il dit
M. Sall d’ajouter : « Il faut rappeler au chef de l’Etat qu’il a été élu notamment pour des questions de rupture surtout contre le néocolonialisme occidental et l’impérialisme occidental sur toutes ses formes ».
Poursuivant sa déclaration, il précise « qu’aujourd’hui, l’une des formes les plus manifestes de ce néocolonialisme occidental, c’est la présence des bases militaires française sur nos territoires ».
« Il n’y a aucune raison qui puisse justifier leur présence. Pourquoi sont-elles là ? Pour quelle raison ? Pour quel intérêt ? En-tout-cas ce ne sont pas des intérêts africains. Vous ne verrez pas de base militaire sénégalaise ou africaine en France. Donc il ne doit pas y avoir de bases militaires dans nos territoires », s’interroge-t-il.
Pour toutes ses questions, dit-il, « nous avons estimé qu’il était important de déposer ce mémorandum en guise de contribution, mais également pour lui rappeler cette raison de rupture pour laquelle il a été élu. Nous demandons au Président (Diomaye) de prendre ses responsabilités dans ce sens ».