Les patrouilles militaires kurdes d'Erbil inspectent les lieux de l'un des attentats qui, au total, ont fait six morts dimanche 29 septembre. REUTERS/Azad Lashkari
Cet attentat se produit au moment où les habitants de la province attendent les résultats des élections législatives qui se sont tenues il y a une semaine.
La scène politique kurde est traditionnellement dominée par deux grandes formations : le Parti démocratique du Kurdistan (PDK), et l'Union patriotique du Kurdistan (PUK).
Après le dépouillement de 95% des suffrages, le PDK du président du Kurdistan, Massoud Barzani, arrive en tête, suivi de Gorran, un parti d'opposition. Gorran, qui signifie « changement » en kurde, dénonce depuis plusieurs années la corruption dans la province et l'opacité entourant les revenus issus du pétrole.
La surprise vient du PUK, qui n'arrive qu'en troisième position. Ce parti a probablement souffert de l'absence de son dirigeant historique Jalal Talabani, hospitalisé en Allemagne depuis une attaque cérébrale en décembre dernier.
Source : Rfi.fr
La scène politique kurde est traditionnellement dominée par deux grandes formations : le Parti démocratique du Kurdistan (PDK), et l'Union patriotique du Kurdistan (PUK).
Après le dépouillement de 95% des suffrages, le PDK du président du Kurdistan, Massoud Barzani, arrive en tête, suivi de Gorran, un parti d'opposition. Gorran, qui signifie « changement » en kurde, dénonce depuis plusieurs années la corruption dans la province et l'opacité entourant les revenus issus du pétrole.
La surprise vient du PUK, qui n'arrive qu'en troisième position. Ce parti a probablement souffert de l'absence de son dirigeant historique Jalal Talabani, hospitalisé en Allemagne depuis une attaque cérébrale en décembre dernier.
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