Selon la commissaire en charge du développement humain et du genre à la CEDEAO, Dr Adrienne Diop cette réunion constitue une étape cruciale dans le cadre du développement des sports au sein de notre région. Elle représente un moment charnière car elle va fournir un environnement institutionnel propice à la mise en place d’outils adéquats pour la gestion et le développement harmonieux et coordonné des sports dans tous les Etats membres.
Elle a fait comprendre qu’ «avec l’adoption d’une politique des sports et de son plan d’action, nous allons résolument prendre en main le développement du sport dans l’espace CEDEAO. Nous disposerons d’un cadre politique global qui nous permettra de faire du sport un secteur clé de la vie socio-économique de la population un moteur du développement humain et d’intégration régional».
Mme Diop est convaincu que «le sport a un rôle social indéniable et au-delà de son impact positif sur la santé, la recherche de l’excellence par la performance, le sport réunit les jeunes et leur procure le sens du dépassement grâce à une émulation saine». Toutefois elle a précisé que «le sport est surtout un facteur d’intégration des jeunes. Les liens tissés au moment des compétitions restent à jamais».
Par ailleurs, elle est d’avis que le sport est un outil fonctionnel qui peut être adopté pour renforcer voire contribuer à la réussite des actions de développement. Entre autres exemples : le sport pour la prévention du VIH/SIDA, le sport pour la création d’emplois, le sport pour la lutte contre le trafic illicite de drogue. C’est dire que le rôle du sport est illimité et est d’un apport indispensable aux actions pour le développement.
Elle a fait comprendre qu’ «avec l’adoption d’une politique des sports et de son plan d’action, nous allons résolument prendre en main le développement du sport dans l’espace CEDEAO. Nous disposerons d’un cadre politique global qui nous permettra de faire du sport un secteur clé de la vie socio-économique de la population un moteur du développement humain et d’intégration régional».
Mme Diop est convaincu que «le sport a un rôle social indéniable et au-delà de son impact positif sur la santé, la recherche de l’excellence par la performance, le sport réunit les jeunes et leur procure le sens du dépassement grâce à une émulation saine». Toutefois elle a précisé que «le sport est surtout un facteur d’intégration des jeunes. Les liens tissés au moment des compétitions restent à jamais».
Par ailleurs, elle est d’avis que le sport est un outil fonctionnel qui peut être adopté pour renforcer voire contribuer à la réussite des actions de développement. Entre autres exemples : le sport pour la prévention du VIH/SIDA, le sport pour la création d’emplois, le sport pour la lutte contre le trafic illicite de drogue. C’est dire que le rôle du sport est illimité et est d’un apport indispensable aux actions pour le développement.