Des ressortissants sénégalais rapatriés de Libye, le jeudi 26 septembre ont partagé leurs mésaventures dans ce pays en proie à des conflits depuis 2011, où les conditions deviennent de plus en plus difficiles pour les migrants en transit, espérant atteindre l’Europe.
Yoro Baldé, qui a vécu une expérience traumatisante en détention, a confié à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) : « je ne peux pas vous dire à quel point le périple en Libye a été difficile. J’ai quitté la prison à minuit, encore habillé de mon uniforme de détenu, pour aller rencontrer le Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’extérieur alors en visite sur place ».
Il ajoute : « aujourd’hui, nous sommes très fiers de revoir les lumières du Sénégal », en remerciant les autorités de l’avoir aidé, avec l’appui de l’OIM (Organisation internationale de la Migration), à regagner son pays.
Yoro Baldé, dans la trentaine et originaire de Kolda (Sud-Sénégal), a relaté les conditions de vie difficiles en Libye, où il a observé la détresse de nombreux concitoyens. « J’ai vu des gens, la nuit, attachés avec des fils de fer. J’ai pu m’échapper. Depuis lors, je n’ai plus pu retourner dans ma demeure en Libye », a-t-il confié à l'APS, avec ses poignets couverts de blessures.
Yoro Baldé, qui a vécu une expérience traumatisante en détention, a confié à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) : « je ne peux pas vous dire à quel point le périple en Libye a été difficile. J’ai quitté la prison à minuit, encore habillé de mon uniforme de détenu, pour aller rencontrer le Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’extérieur alors en visite sur place ».
Il ajoute : « aujourd’hui, nous sommes très fiers de revoir les lumières du Sénégal », en remerciant les autorités de l’avoir aidé, avec l’appui de l’OIM (Organisation internationale de la Migration), à regagner son pays.
Yoro Baldé, dans la trentaine et originaire de Kolda (Sud-Sénégal), a relaté les conditions de vie difficiles en Libye, où il a observé la détresse de nombreux concitoyens. « J’ai vu des gens, la nuit, attachés avec des fils de fer. J’ai pu m’échapper. Depuis lors, je n’ai plus pu retourner dans ma demeure en Libye », a-t-il confié à l'APS, avec ses poignets couverts de blessures.