Les nervis n'ont pas encore fini avec Barthélemy Dias malgré le revers subi jeudi dernier avec la mort par balle de Ndiaga Diop. Ils sont encore retournés chez lui hier, nuit. Convoqué à 11h au commissariat central de Dakar, le maire de la commune d'arrondissement de Mermoz - Sacré coeur est arrivé en boule. Vêtu d'un tee-shirt noir flanqué "Libérer Malick Noël Seck", il s'est directement adressé à la presse. "La nuit dernière des véhicules qui n'ont pas de plaques d'immatriculation sont venus devant chez moi avec à bord des gens armés. Toute la population de Sicap Baobab a vu les armes. Mais je vous assure, je vous garantis que ces 4 X 4 ne sortiront pas de Sicap Baobab. Je garantis que personne ne sortira vivant. Ce n'est pas parce qu'ils ont pris une arme qu'il pense que c'est fini. Rien n'est fini ", a-t-il vitupéré. Le responsable des jeunes socialistes de s'attaquer vertement au ministre de l'Intérieur: Je ne parlerai pas beaucoup. Je veux que Ousmane Ngom sache que je l'emmerde et que j'emmerde ce régime qui est policier et dictatorial".
Barthélemy Dias de se faire très menaçant: "si ce soir une voiture entre à Baobab, je vous garantis que ces véhicules ne sortirons pas, ses occupants aussi. Ils n'ont qu'à amener autant d'armes qu'ils veulent, ils ne sortirons pas". Interpellé sur sa convocation, il a rétorqué: "je n'ai rien à faire au commissariat central de Dakar. J'ai été agressé par des bandits, ils ont reçu une correction, un point c'est tout". Et de charger le président de la République: "c'est Abdoulaye Wade qui a lancé un appel oeil pour oeil, dent pour dent. C'est lui qui a créé cette situation". Le maire de Mermoz-Sacré coeur d'insister: "hier nuit des témoins oculaires ont assisté à une scène la même chose que ce qui s'est passé devant la mairie de Mermoz-Sacré coeur, des pick up dépourvus de plaques d'immatriculation avec des hommes armés, les armes ont été visibles. Je garantis que si ces pays reviennent cette nuit à Baobab, ils ne sortiront pas de Sicap Baobab et aucun de ses occupants ne sortira aussi".
Par rapport à la troisième convocation en 48h, "je ne m'attends à rien du tout. Si je dois m'attendre à quelque chose, c'est qu'on rétablisse l'ordre dans ce pays parce qu'on nous a donné un choix: "vivre ou mourir". Et moi j'ai choisi de vivre", a déclaré Barthélemy Dias.
Barthélemy Dias de se faire très menaçant: "si ce soir une voiture entre à Baobab, je vous garantis que ces véhicules ne sortirons pas, ses occupants aussi. Ils n'ont qu'à amener autant d'armes qu'ils veulent, ils ne sortirons pas". Interpellé sur sa convocation, il a rétorqué: "je n'ai rien à faire au commissariat central de Dakar. J'ai été agressé par des bandits, ils ont reçu une correction, un point c'est tout". Et de charger le président de la République: "c'est Abdoulaye Wade qui a lancé un appel oeil pour oeil, dent pour dent. C'est lui qui a créé cette situation". Le maire de Mermoz-Sacré coeur d'insister: "hier nuit des témoins oculaires ont assisté à une scène la même chose que ce qui s'est passé devant la mairie de Mermoz-Sacré coeur, des pick up dépourvus de plaques d'immatriculation avec des hommes armés, les armes ont été visibles. Je garantis que si ces pays reviennent cette nuit à Baobab, ils ne sortiront pas de Sicap Baobab et aucun de ses occupants ne sortira aussi".
Par rapport à la troisième convocation en 48h, "je ne m'attends à rien du tout. Si je dois m'attendre à quelque chose, c'est qu'on rétablisse l'ordre dans ce pays parce qu'on nous a donné un choix: "vivre ou mourir". Et moi j'ai choisi de vivre", a déclaré Barthélemy Dias.