En conférence de presse ce lundi, ces organisations de la société civile ont réaffirmé leur opposition à un probable report de la présidentielle prévue dans moins d’un mois. « Nos organisations désapprouvent fortement toutes mises en cause des décisions du Conseil constitutionnel et déclarent de faire opposition à toute tentative de report de la date de l'élection présidentielle du 25 février 2024», a déclaré la Synergie des organisations de la société civile.
Ses membres ont dénoncé par la même occasion des agissements qui selon eux pourraient déboucher sur la perte de la crédibilité du Conseil constitutionnel, ainsi que la perte de la confiance des électeurs.
« De tels agissements pourraient déboucher sur la perte de la crédibilité du Conseil constitutionnel, une des institutions les plus prestigieuses de la République en charge de l'organisation de l'élection par des contestations pré et postélectorale. La perte de la confiance des électeurs et la baisse du taux de participation et donc de la légitimité de celui qui sera élu et le développement de tension entre les acteurs avant pendant et après le scrutin et enfin le recul de la démocratie et de l'État de droit », a indiqué la Synergie des organisations de la société civile pour la paix (SOS/paix).
Sur ce, ces organisations lancent un appel pressant aux pouvoirs publics ainsi qu’aux cours et tribunaux pour veiller à la régularité de l'élection ainsi qu’à l'égalité entre les candidats pour une élection crédible en national et en international. Ces organisations de la société civile, réclament une « élection présidentielle inclusive équitable transparente et apaisée. » ET recommandent de « rendre publique gratuitement la carte électorale envoyé au niveau des préfectures, de la mettre sur le net s’il le faut ».
La synergie des organisations de la société civile qui regroupe 23 organisations fustige le « manque de transparence dans la gestion du fichier électorale. Ainsi, elle exige aux autorités compétentes d’assurer la sécurité des différents candidats à l'élection présidentielle, respecter les dispositions de la pipe au centre du code électoral notamment l'utilisation du temps d'attente respecter la séparation des pouvoirs accès aux médias publics, respecter le droit à l'information.
Pour Djibril Gnigue, secrétaire exécutif du Gradec, « la présidentielle doit se tenir à la date prévue, le calendrier doit être respecté, jamais il y a eu de report d’une élection présidentielle au Sénégal, il n'est pas question que ça commencer aujourd'hui ».
Ci dessous la liste des Organisations Signataires :
Ses membres ont dénoncé par la même occasion des agissements qui selon eux pourraient déboucher sur la perte de la crédibilité du Conseil constitutionnel, ainsi que la perte de la confiance des électeurs.
« De tels agissements pourraient déboucher sur la perte de la crédibilité du Conseil constitutionnel, une des institutions les plus prestigieuses de la République en charge de l'organisation de l'élection par des contestations pré et postélectorale. La perte de la confiance des électeurs et la baisse du taux de participation et donc de la légitimité de celui qui sera élu et le développement de tension entre les acteurs avant pendant et après le scrutin et enfin le recul de la démocratie et de l'État de droit », a indiqué la Synergie des organisations de la société civile pour la paix (SOS/paix).
Sur ce, ces organisations lancent un appel pressant aux pouvoirs publics ainsi qu’aux cours et tribunaux pour veiller à la régularité de l'élection ainsi qu’à l'égalité entre les candidats pour une élection crédible en national et en international. Ces organisations de la société civile, réclament une « élection présidentielle inclusive équitable transparente et apaisée. » ET recommandent de « rendre publique gratuitement la carte électorale envoyé au niveau des préfectures, de la mettre sur le net s’il le faut ».
La synergie des organisations de la société civile qui regroupe 23 organisations fustige le « manque de transparence dans la gestion du fichier électorale. Ainsi, elle exige aux autorités compétentes d’assurer la sécurité des différents candidats à l'élection présidentielle, respecter les dispositions de la pipe au centre du code électoral notamment l'utilisation du temps d'attente respecter la séparation des pouvoirs accès aux médias publics, respecter le droit à l'information.
Pour Djibril Gnigue, secrétaire exécutif du Gradec, « la présidentielle doit se tenir à la date prévue, le calendrier doit être respecté, jamais il y a eu de report d’une élection présidentielle au Sénégal, il n'est pas question que ça commencer aujourd'hui ».
Ci dessous la liste des Organisations Signataires :
- Les organisations signataires :
- La plateforme la raddho, la DH
- Gradec, Article 19 Sénégal et Afrique de l'Ouest
- Osidea
- Handicap Form Educ
- Afrikajom Center
- Forum social sénégalais
- Enda Graf Sahel
- Dialogue citoyen
- Conasub
- Plateforme de veille des femmes pour la paix et la sécurité
- Etu jamm
- Présence chrétienne
- vision Citoyenne
- Cosce
- Pf/Ane
- Reseau Siggil Jiggen
- Pacte
- Ong 3G
- Urac
- Lsdh
- Cerac
- Conasub
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