La torture qui est l’une des violations les plus graves des droits fondamentaux de la personne est une question qui préoccupe au plus haut point l’Association pour la prévention de la torture (APT). Raison pour laquelle, elle compte organiser du 27 au 28 avril en collaboration avec la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (ACHPR), une conférence régionale sur le Protocole facultatif à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants (OPCAT). Le communiqué reçu à la rédaction de Pressafrik.com, renseigne que la torture porte atteinte à la dignité d’une personne, à son intégrité physique et psychique et peut avoir des conséquences graves pour sa famille et sa communauté.
Malgré son interdiction absolue inscrite dans le droit international, la torture reste pratiquée dans bien des endroits.
En conséquence, des acteurs nationaux, régionaux ou internationaux, ont décidé d’agir. Plus de 60 personnes provenant de pays africains Etats parties à l’OPCAT ainsi que des États signataires qui se trouvent à un stade avancé de ratification participeront à la Conférence (soit 16 Etats au total). Celle-ci rassemblera des représentants de Ministères gouvernementaux, d’Institutions nationales de droits de l’homme, de mécanismes nationaux de prévention, de mécanismes de droits humains des Nations Unies, de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, d’agences des Nations Unies, d’organisations internationales, d’organisations régionales ainsi que d’organisations de la société civile.
Le document d’indiquer: «la Conférence se donne comme objectifs de promouvoir la ratification et la mise en œuvre de l’OPCAT, afin d’établir et d’assurer le fonctionnement efficace des mécanismes nationaux de prévention». Et d’ajouter: «elle encouragera l’échange d’expériences et de bonnes pratiques à ce sujet. La Conférence posera également les bases pour une coopération entre mécanismes nationaux de prévention émergents en Afrique afin de créer des synergies entre eux et d’autres acteurs de la prévention de la torture aux niveaux national, régional et international».
Malgré son interdiction absolue inscrite dans le droit international, la torture reste pratiquée dans bien des endroits.
En conséquence, des acteurs nationaux, régionaux ou internationaux, ont décidé d’agir. Plus de 60 personnes provenant de pays africains Etats parties à l’OPCAT ainsi que des États signataires qui se trouvent à un stade avancé de ratification participeront à la Conférence (soit 16 Etats au total). Celle-ci rassemblera des représentants de Ministères gouvernementaux, d’Institutions nationales de droits de l’homme, de mécanismes nationaux de prévention, de mécanismes de droits humains des Nations Unies, de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, d’agences des Nations Unies, d’organisations internationales, d’organisations régionales ainsi que d’organisations de la société civile.
Le document d’indiquer: «la Conférence se donne comme objectifs de promouvoir la ratification et la mise en œuvre de l’OPCAT, afin d’établir et d’assurer le fonctionnement efficace des mécanismes nationaux de prévention». Et d’ajouter: «elle encouragera l’échange d’expériences et de bonnes pratiques à ce sujet. La Conférence posera également les bases pour une coopération entre mécanismes nationaux de prévention émergents en Afrique afin de créer des synergies entre eux et d’autres acteurs de la prévention de la torture aux niveaux national, régional et international».