C’est à travers une lettre ouverte signée par l’un de ces agents que ces travailleurs reviennent sur leur situation depuis le remplacement du Conseil Economique et Social par le Conseil Economique, Social et Environnemental. « Avec la suppression du Conseil Economique et Social (CES) et son remplacement par le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), les travailleurs de l’ex-CES sont aujourd’hui plongés dans une consternation absolue ».
Et la lettre d’ajouter « en effet, depuis la nomination d’un liquidateur par Arrêté du Ministre de l’Economie et des Finances en date du 09 janvier 2013 (jour du décès du Président Ousmane MasseckNdiaye), les agents de l’administration de l’ex-Ces ne savent plus de quel sens scintille le bout du tunnel ».
Une situation sociale difficile doublée de pratiques incompréhensibles relativement au respect du Droit du Travail car « tous les agents ont été priés, par e-mail, de rendre les clés des bureaux, les véhicules de service et tout autre matériel appartenant à l’ex-Ces et de rester chez eux ; ceci, Monsieur le Président de la République, sans préavis de licenciement ou une quelconque autre information ou disposition. Depuis ce jour, nous restons toujours chez nous sans salaires, ni informations ».
Et dans la même lancée, « à notre grande surprise, les techniciens de surface ont été sommés ce mardi 19 février 2013 d’arrêter leur travail car ils ont été remplacés par des employés d’une entreprise nommée ECONET ».
Ces ex agents du CES, détenteurs de CDI et de CDD, qui composaient le personnel administratif et technique du CES ne comprennent pas la forfaiture glaner sur leurs têtes car comment on peut comprendre qu’ « on annonce la mise en place d’une administration ce lundi 25 février sans évacuer cette prétendue liquidation », se demande l’auteur de la lettre.
De même la lettre qui attire l’attention du chef de l’Etat « sur les conséquences néfastes et douloureuses que cela pourrait engendrer chez nos familles respectives et même dans la société Sénégalaise », rappelle aussi les dispositions de l’article L 66 du Code du travail et portant sur la modification du contrat de travail: «S’il survient une modification dans la situation juridique de l’employeur, notamment par REPRISE SOUS UNE NOUVELLE APPELLATION (...), tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l’entreprise».
Et la lettre d’ajouter « en effet, depuis la nomination d’un liquidateur par Arrêté du Ministre de l’Economie et des Finances en date du 09 janvier 2013 (jour du décès du Président Ousmane MasseckNdiaye), les agents de l’administration de l’ex-Ces ne savent plus de quel sens scintille le bout du tunnel ».
Une situation sociale difficile doublée de pratiques incompréhensibles relativement au respect du Droit du Travail car « tous les agents ont été priés, par e-mail, de rendre les clés des bureaux, les véhicules de service et tout autre matériel appartenant à l’ex-Ces et de rester chez eux ; ceci, Monsieur le Président de la République, sans préavis de licenciement ou une quelconque autre information ou disposition. Depuis ce jour, nous restons toujours chez nous sans salaires, ni informations ».
Et dans la même lancée, « à notre grande surprise, les techniciens de surface ont été sommés ce mardi 19 février 2013 d’arrêter leur travail car ils ont été remplacés par des employés d’une entreprise nommée ECONET ».
Ces ex agents du CES, détenteurs de CDI et de CDD, qui composaient le personnel administratif et technique du CES ne comprennent pas la forfaiture glaner sur leurs têtes car comment on peut comprendre qu’ « on annonce la mise en place d’une administration ce lundi 25 février sans évacuer cette prétendue liquidation », se demande l’auteur de la lettre.
De même la lettre qui attire l’attention du chef de l’Etat « sur les conséquences néfastes et douloureuses que cela pourrait engendrer chez nos familles respectives et même dans la société Sénégalaise », rappelle aussi les dispositions de l’article L 66 du Code du travail et portant sur la modification du contrat de travail: «S’il survient une modification dans la situation juridique de l’employeur, notamment par REPRISE SOUS UNE NOUVELLE APPELLATION (...), tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l’entreprise».