«Cela fait désordre. Il urge de s’organiser pour remettre de l’ordre dans l’action politique et surtout dans l’action des partis politiques. Ces formations politiques, qui ne participent pas à des élections et qui n’ont jamais collecté de suffrage à un certain niveau, ne méritent pas de rester sur la scène. C’est vrai que chacun a le droit de dire qu’il veut diriger le pays. Mais, les partis minoritaires, moins significatif, doivent savoir renoncer pour qu’on puisse organiser les élections dans la paix », a déclaré Idrissa Seck à propos de la pléthore des listes (47) en lice pour les législatives du 30 juillet prochain.
Le président du Rewmi s’est aussi prononcé sur l’implosion de la grande coalition de l’opposition, à la veille du dépôt des listes : « C’est regrettable que la coalition Mankoo Taxawu Senegaal, sous sa forme initiale, n’ait pas réussi à se maintenir. Nous avons, en ce qui nous concerne, tout fait pour que les gens placent l’unité au dessus de leurs intérêts personnels. Nous avons essayé de convaincre les uns et les autres que l’unité était beaucoup plus précieuse que les positions individuelles des têtes de listes qui n’ont aucune signification à l’occasion de ces élections législatives ».
Pour lui, ce qui était déterminant, «c’était de se donner les moyens et de créer les conditions d’un changement de majorité».
Le président du Rewmi s’est aussi prononcé sur l’implosion de la grande coalition de l’opposition, à la veille du dépôt des listes : « C’est regrettable que la coalition Mankoo Taxawu Senegaal, sous sa forme initiale, n’ait pas réussi à se maintenir. Nous avons, en ce qui nous concerne, tout fait pour que les gens placent l’unité au dessus de leurs intérêts personnels. Nous avons essayé de convaincre les uns et les autres que l’unité était beaucoup plus précieuse que les positions individuelles des têtes de listes qui n’ont aucune signification à l’occasion de ces élections législatives ».
Pour lui, ce qui était déterminant, «c’était de se donner les moyens et de créer les conditions d’un changement de majorité».