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Déthié a craché tout son venin sur le ministre de la Justice Ismaila Madior Fall, lors de la plénière pour le vote du budget de ce dernier à l'Assemblée nationale. Le député Rewmi a clairement avoué au garde des Sceaux que lui et ses camarades khalifistes n'avaient aucune confiance en sa personne.
"Tout le monde sait que rien ne marche dans votre département. Je suis déçu de votre nomination à la tête de ce ministère. Votre démarche n’inspire aucune confiance. Vous avez laissé comme référence Montesquieu qui a théorisé la séparation des pouvoirs pour prendre comme référence le président Macky Sall qui a une justice pour ses partisans et une justice pour ses adversaires. Le droit de Khalifa Sall a été violé depuis le début. Alors que les corps de contrôle ont incriminé des gens de l’Apr, depuis lors on attend la Justice pour trancher, mais rien", a-t-il pesté devant les députés.
Déthié Fall a également chargé le ministre de la Justice de dire au Procureur de la République d'arrêter de menacer les citoyens sénégalais. "Nous demandons au Procureur d’arrêter de menacer les citoyens qui décrient le fonctionnement de la Justice alors qu’ils sont dans leurs droits", a-t-il dit.
"Tout le monde sait que rien ne marche dans votre département. Je suis déçu de votre nomination à la tête de ce ministère. Votre démarche n’inspire aucune confiance. Vous avez laissé comme référence Montesquieu qui a théorisé la séparation des pouvoirs pour prendre comme référence le président Macky Sall qui a une justice pour ses partisans et une justice pour ses adversaires. Le droit de Khalifa Sall a été violé depuis le début. Alors que les corps de contrôle ont incriminé des gens de l’Apr, depuis lors on attend la Justice pour trancher, mais rien", a-t-il pesté devant les députés.
Déthié Fall a également chargé le ministre de la Justice de dire au Procureur de la République d'arrêter de menacer les citoyens sénégalais. "Nous demandons au Procureur d’arrêter de menacer les citoyens qui décrient le fonctionnement de la Justice alors qu’ils sont dans leurs droits", a-t-il dit.