«A l’issue de différents désaccords que nous avons constatés, nous pensons que le Président devrait, dans un premier temps, avant de procéder à un arbitrage quelconque, entendre toutes les parties essentiellement sur les points de désaccord » a déclaré Déthié Faye, le coordonnateur des non-alignés.
Cette sortie de M. Faye est en prélude à la remise au chef de l’Etat de la conclusion du rapport sur les discussions autour du processus électoral qui s’étaient déroulées entre le gouvernement et ses partisans, certains partis de l’opposition, des non-alignés et de la société civile sous la houlette de l’ambassadeur Seydou Nourou Ba.
Selon le chef de file de la Convergence pour la Démocratie et la République C.D.R/ fonk sa kaddu, Macky Sall n’a pas intérêt à laisser croire qu’il s’adonne «à une sorte de forcing qui pourrait nous conduire à des élections qui créeraient éventuellement beaucoup de troubles dans ce pays».
Interrogé par nos confrères de Sud Fm, M. Faye soutient que c’est pour cette raison que le Président Sall gagnerait à laisser les trois pôles s’exprimer, et «qu’il prenne de la hauteur en procédant à un arbitrage non pas en tant que dirigeant d’une des coalitions, mais en tant qu’institution qui se situe au-dessus de tous».
A l’en croire, c’est la seule condition qui permettra d’avoir des discussions saines.
Cette sortie de M. Faye est en prélude à la remise au chef de l’Etat de la conclusion du rapport sur les discussions autour du processus électoral qui s’étaient déroulées entre le gouvernement et ses partisans, certains partis de l’opposition, des non-alignés et de la société civile sous la houlette de l’ambassadeur Seydou Nourou Ba.
Selon le chef de file de la Convergence pour la Démocratie et la République C.D.R/ fonk sa kaddu, Macky Sall n’a pas intérêt à laisser croire qu’il s’adonne «à une sorte de forcing qui pourrait nous conduire à des élections qui créeraient éventuellement beaucoup de troubles dans ce pays».
Interrogé par nos confrères de Sud Fm, M. Faye soutient que c’est pour cette raison que le Président Sall gagnerait à laisser les trois pôles s’exprimer, et «qu’il prenne de la hauteur en procédant à un arbitrage non pas en tant que dirigeant d’une des coalitions, mais en tant qu’institution qui se situe au-dessus de tous».
A l’en croire, c’est la seule condition qui permettra d’avoir des discussions saines.